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 Once upon a nightmare

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MessageSujet: Once upon a nightmare   Once upon a nightmare EmptyJeu 02 Juil 2015, 10:25

Quand la lune illumine la nuit de ses pales rayons. Le froid s'engouffre dans nos carcasses geler grâce au ombre grandissante. Rodant dans la nuit comme des animaux sauvage, quelques choses attendent. À l'angle d'une ruelle, personne ne sait ce qu'il peut arriver. Les plus sages ne traînaient pas sur le chemin du retour. Ils restent à l'abri derrière leurs murs épais et leurs fenêtres de verre. Fermant leurs rideaux de peur de voir une silhouette bougeait. La pluie qui chute sur la vitre à la couleur foncer. Les enfants curieux cherchent à contempler les petites gouttelettes. Mais leurs mères évitent de se retourner pour savoir s'il s'agit vraiment d'eau ou de sang. Leurs mains entraînent leurs progénitures loin de toutes visions de l'extérieur. Ma mère faisait pareille quand j'étais petit, malheureusement, je ne le suis plus depuis longtemps. J'avais toujours eu cette mauvaise habitude de me retourner pour fixer les taches rougeâtres s'effacer avec le temps. La plus part des gens vives pour la lumière et le jour, c'est la nature humaine. Pourtant certain, son mieux dans les bras de la nuit noir. Ils ne sont pas effrayés à l'idée de disparaître complètement

Une silhouette était avachie contre une vieille poubelle. C'était moi qui regardais les dernières lumières s'éteindre. Je ramenais ma capuche sur mes cheveux roux flamboyants. Les gouttes d'eau tombaient de plus en plus fort comme si l'attraction de la terre devenait plus importante. Sans parapluie, je désembuais dans les ruelles silencieuses. Passant devant quelque rares commerçant qui fermer boutique. On les voyait se presser avec hâte comme si le diable les chatouillés. Malgré le fait que j'en saluer quelque uns, aucun ne me répondait. La peur activait leurs petits pas sur les pavés. Les seules qui traînaient dans la nuit ne pouvaient être que des porteurs de problèmes. Certain apporter la ruine, d'autre le malheur, mais, contrairement à eux, je n'étais qu'un pauvre garçon innocent. J'aimais traînais les soirs quand le chat miaulé à sa belle sur un muret. Passant à la hâte, le froid s'installait à son tour. De mes lèvres s'échappaient de la vapeur pour former un nuage blanc. Souriant, j'imaginais être un petit train comme le polar-express traversant les routes verglacées. Voyageant sous les gouttières où les stalactites se former aux gouttes à gouttes.

En passant dans une ruelle différente à celle de d'habitude, je me percutai à un homme étrange. Tombant les fesses la première sur goudron râpeux. Mes fesses me firent bien comprendre qu'elles souffraient. Ma chaire me lançait comme si je venais de m'asseoir sur une nid d'oursins. Mon regard bleuté se posa sur la silhouette d'un homme au allure très hautaine. Un horrible manteaux de fourrure tomber sur ses épaules carrée. Sa chevelure bicolore blanc et en noir était séparé par sa raie au milieu lui donnant un air très moderne. Réellement, il me faisait penser à ses tableaux qu'on disait ''contemporain'' et ''artistique''. Ceux dont le peintre avait simplement dessiné un coté de sa toile noire et donnée un nom compliquer du genre : ''La relation archaïque du bien et du mal dans les nuances des différentes formes coloré''. Personnellement, je trouvais les dessins des enfants traçant une maison biscornue bien plus artistique, enfin, ce n'était que mon avis. Mes yeux plongèrent dans les siens griser avant de le voir passer sa route. Il lâcha comme un soupir en dépoussiérant un coté de sa manche. Toujours par terre, je plaignais sincèrement le valet de pied qui le suivait. Me soulevant en râlant, j'aurais dû réagir plus vite.

Secouant mon popotin tremper avec ma main humide. Je devais me dépêcher de trouver un endroit sec où me réchauffer. Valdingué dans la nuit : d'accord, mais pas au point d'être malade. Je repartais au pas de course dans la ville endormis. Le seul endroit encore ouvert dans le quartier serait un vieux bar. La clientèle était exclusivement composée de vieux habitués et de voyageur d'un soir. Le patron n'était pas aimable avec ses grosses moustache et sa jambe de bois. Il gueulait sur les clients quand ses derniers osés critiqué sa bière. Autant dire, que peux de monde s'approcher des environs. Arrivait près de l'entrée, je frappais trois coups avant qu'une armoire à glace m'ouvre la porte. Il se reculant comme un militaire pour me faire de la place. J'entrai prestement et me diriger comme à mon habitude sur une vieille chaise près de la caisse. Me posant sur le siège sous une moquerie crus du patron. Comme toujours, il me servit ma limonade avec une tranche d'orange dedans. Je venais ici depuis petit, enfin, depuis que je m'étais perdu dans les rues et qu'un homme au sourire graver sur les lèvres m'emmène ici. Depuis, j'y venais fréquemment en espérant le revoir pour le remercier, mais, comme tous les soirs, rien ne semblait bouger ...

''Patron la-même choses s'il te plait sinon je vais m'endormir sur le comptoir...''

Autant essayer de noyer mon ennuie dans les bulles ...
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Heathcliff

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MessageSujet: Re: Once upon a nightmare   Once upon a nightmare EmptyDim 09 Aoû 2015, 21:44

Un rugissement s'élevait dans la nuit noire, résonnant dans le ciel sans étoiles d'une ville pleine de lumière. Malgré l'heure tardive, l'agitation citadine ne cessait pas dans les quartiers de loisir, et ce n'était pas une petite pluie qui empêcherait les oiseaux de nuit de profiter des occupations mises à portée de main. Profitant des préaux des magasins et immeubles, des groupes de jeunes gens se pressaient de toutes parts en batifolant gaiement. D'un grand cinéma, dont l'affiche principale laissait à la portée du mauvais temps deux amoureux tendrement enlacés sous un titre accrocheur, sortit une jeune femme aux cheveux remontés en un palmier par une grosse pince. Arrangeant sa jupe qui s'était plissée après ces deux heures passées devant un écran, elle avisa d'un œil le ciel couvert et jugea qu'aller prendre un deuxième billet ne serait pas de refus. Tandis qu'elle s'ajoutait à la file postée devant la billetterie, une musique discrète s'éleva de son sac. Elle en extirpa son téléphone pour le porter à son oreille, un sourire aux lèvres.

J'écoute ?

Le rugissement de la nuit s'intensifia, se détachant de celui de la pluie diluvienne. Il sembla au passant qu'un véritable lion enragé approchait à une vitesse folle. Une lumière paru alors dans le coin de la rue tandis qu'une machine folle glissait en crabe sur le sol inondé, provoquant un crissement semblable au cri d'une femme dévorée par les flammes. La puissante moto noire au phare unique redémarra de plus belle sans sembler troublée par cet aquaplaning qui semblait presque être un dérapage contrôlé pour un œil avisé, puis reprenant sa course endiablée elle fonça en ligne droite entre les passants qui s'étaient automatiquement écartés à l'entente de ce grognement monstrueux que provoquait le moteur. Le motard ne sembla pas un seul instant troublé par les quelques idiots qui n'avaient pas eu le temps de réaction nécessaire pour se pousser, car il les évita avec habileté sans perdre en vitesse, se jetant de l'autre côté de la rue pour disparaître au tournant. Un flash survint dans la disparition, coupé par le mur qui avala la silhouette de la machine nocturne. Les passants étaient encore abasourdis par ce passage enflammé, mais la jeune femme au téléphone se contenta de fermer les yeux avec un sourire.

Je viens de vous voir passer, je suis contente que vous soyez indemnes... Comptez sur moi, je vous envoie les informations dès que je les ai, ne le perdez pas une seconde fois de vue.

Sur le monstre à deux roues qui s'éloignait dans la ville en provoquant des rugissement et des cris terrifiants à chaque tournant, un jeune homme raccrocha son propre téléphone avant de se coller à nouveau au dos du conducteur, serrant les dents pour ne pas se mordre la langue sous l'effet de la vitesse folle.

C'est bon, la recherche est lancée, elle nous envoie sa localisation !
Parfait. Accroche-toi, je vais accélérer...
Oh, je crois que je vais vomir... Je l'ai ! Tourne à droite !

Le conducteur fit rugir une nouvelle fois le moteur de son monstre qui bondit dans la rue adjacente comme une puissante panthère pourchassant sa proie. Tenant tant bien que mal son téléphone dans sa main, le jeune homme criait des indications au motard tout de noir vêtu dont la visière teintée ne semblait pas laisser la possibilité de voir dans la nuit, mais qui semblait parfaitement avisé du moindre danger. Au détour d'une rue qui les menait dans un quartier un peu moins fréquenté en dehors de quelques bars, une ombre apparu dans la lumière du phare.

Le voilà !
Ferme les yeux !

À peine le motard eut-il crié ces mots qu'apparut également dans la lumière la façade d'un bar encore ouvert. Une lumière tamisée en sortait, laissant apparaître à travers la vitre quelques clients qui tournèrent peu à peu la tête vers le dehors en entendant la machine folle arriver. Aucun n'eut le temps de réagir avant que l'ombre ne traverse la vitre en faisant s'éteindre soudain la majorité des lumières du bar, le plongeant dans l'obscurité ; pourtant la vitrine ne vola en éclat que lorsque le véhicule le suivit sans la moindre crainte directement dans la boutique, provoquant la panique dans tout l'établissement et un carnage. Personne ne fut blessé même si un client perdit connaissance après avoir senti la chaleur du moteur souffler dans sa nuque, et le véhicule s'arrêta soudain entre les tables et les verres brisés. Le jeune homme bondit de la moto, sortant un couteau de sous sa veste blanche qui contrastait avec sa crinière noire un couteau qu'il ramena devant lui. Il sembla chercher un instant du regard quelque chose mais le silence n'eut le temps de prendre place, car soudain l'ombre apparue plus tôt fondit sur lui.

Il se retrouva plaqué au sol, lâchant une exclamation de douleur en sentant sous son dos les bris de verre de la vitre et des boissons des clients, mais coupa son souffle quand soudain un visage terrifiant apparu au dessus de lui. Deux yeux complètement noirs le fixaient avec une lueur inquiétante sous une gueule béante, anormalement grande pour un humanoïde, de laquelle s'échappait un cri inhumain qui donna des frisson à tous les spectateurs. Le jeune homme s'empressa de rattraper son couteau qui avait glissé à côté, heureusement toujours à portée de main, et le ramena devant lui juste avant que le visage de l'ombre ne fonde sur lui, donnant un coup de la lame dans la peau élastique et noirâtre de la joue du monstre. Celui-ci sembla un instant choqué du coup, mais se retourna immédiatement vers lui malgré la peau qui pendait pitoyablement du côté transpercé, laissant transparaître dans l'obscurité de sa gueule béante une rangée d'aiguilles en très grand nombre qui faisaient office de dents et s'étiraient loin au fond d'une mâchoire particulièrement grande. Le jeune homme plaqua sa main sur le front nu de la bête, la repoussant avant qu'elle n'ait eu le temps de planter ses crocs dans son visage et donnant frénétiquement des coups de couteau pour repousser les serres ornant les larges mains de la bête.

Soudain, un bruit d'explosion retentit tandis que le monstre était repoussé sur le côté, libérant le jeune homme qui s'empressa de bondir sur ses pieds. Il jeta un oeil par dessus son épaule, avisant le motard qui avait mis pied à terre et braquait un énorme canon appartenant à un révolver lourd en direction de la bête. De sa main libre, le conducteur glissa deux doigts sous son casque pour le retirer d'un geste, laissant apparaître sur son visage pâle couvert de tâches de sang un sourire carnassier. Ses yeux finement maquillés fixaient son compagnon tandis que ses longs cheveux blancs aux pointes noires retombaient sous son dos, étincelant sous la seule lampe intacte du bar. Le jeune homme à la veste blanche renifla.

Tu as pris ton temps !
Tu préfères que je te laisse en tête à tête avec sa fiancée ?

Tandis qu'ils se provoquaient, la bête se relevait, une main posée sur la partie droite de son visage. Elle se retourna brusquement vers le tireur avec un grognement bestial : la partie de son visage qui avait été touchée par le projectile avait volé en éclat, laissant paraître un trou béant et une peau déchirée. Il ne semblait rien y avoir à l'intérieur du crâne de la bête. Elle se releva en rugissant de plus belle, mais un nouveau coup de feu la coupa dans son élan, faisant éclater la partie gauche de son poitrail. La motarde ramena son arme sur son épaule, serrant les dents.

Elle en redemande !
Ne gaspille pas tes cartouches !

En effet, à peine le jeune homme avait-il lancé cet avertissement que la partie droite du crâne de la bête sembla se reconstitué, sa peau élastique s'étirant pour reprendre forme tout comme sa joue gauche semblait déjà l'avoir fait, intacte malgré le coup de couteau. La motarde cracha, jetant son arme qui brisa littéralement une table en deux tandis qu'elle prenait position pour répondre à toute attaque à mains nues. Lorsque la bête se jeta vers elle, elle ne recula pas et s'avança à la dernière seconde, se baissant juste assez pour éviter une morsure fatale et donnant un coup dans le torse encore béant de la bête. Celle-ci semblait prête à donner un second coup, mais elle se recula en lâchant un cri strident tandis que son torse s'était enflammé. La motarde se redressa avec un sourire hautain.

Tu t'enflammes, mon amie.

La bête continuait de crier en reculant, mais s'accoutumant peu à peu à la douleur de son corps au cœur enflammé, elle finit par reprendre ses esprits et tourna son regard sombre en direction du jeune homme. Celui-ci eut un mouvement de recul, décontenancé, mais trop tard : la créature fondait sur lui.

Jeff !!

Jeff ramena ses bras devant lui, s'apprêtant à subir une morsure puissante, mais avant que le choc ne survienne une ombre s'interposa, et la bête fut repoussé en poussant un nouveau cri qui ressemblait plus à une exclamation de terreur. Elle tomba sur le dos et se traina vers l'arrière, ses dents provoquant un claquement menaçant tandis que la silhouette du nouveau-venu se redressait. Jeff le fixa, poussant un bref soupir de soulagement avant de se redresser en position assise, étant tombé sous le coup de la surprise.

Merci, Jack.
Hé hé...

Ledit Jack tourna la tête vers lui, un grand sourire visiblement satisfait sur ses lèvres dans l'ombre des lieux mal éclairés. Il se retourna aussitôt quand la bête poussa un nouveau cri cette fois-ci plein de rage, et tendant ses muscle il bondit vers l'avant en même temps que celle-ci, lançant vers l'avant son bras armé d'un scalpel, provoquant une large entaille dans le coup de la bête tandis que celle-ci abattait ses serres sur son épaule. Se refusant à esquivé, il soutint le coup, en profitant pour avancer son autre bras et ainsi planter le scalpel dans l'épaule de la bête, y appliquant tant de force qu'il trancha son épaule et rendit temporairement celle-ci inutilisable. La bête cria, approchant son visage pour tenter de le mordre, mais se stoppa tandis que lui-même provoquait un chuintement menaçant. Sous les regards ébahis des clients terrifiés, il plongea lui-même ses dents dans la gorge nue de la bête qui tenta de pousser un ultime cri mais qui resta bloqué dans ses poumons, sa tête étant tranchée net. Le corps sans vie de la créature retomba à terre avec un bruit sourd suivi de celui de la tête qui roula jusqu'aux pieds de la motarde. Celle-ci s'abaissa pour la ramasser, relevant un sourcil.

Classe...

Jack se redressa, essuyant du revers de sa manche son visage tandis qu'un grésillement survenait. Les lumières du bar qui s'étaient éteintes à l'exception de celle au dessus de la motarde clignotèrent un instant avant de se rallumer, laissant apparaître le spectacle de façon plus nette aux yeux de tous. Le sol était couvert de sang, tout comme le visage du jeune Jack qui semblait être un jeune homme aux cheveux courts noirs cachés sous une capuche qui retombait légèrement au dessus de ses cavités oculaires... vides. Il sourit à nouveau après avoir laissé sa langue courir sur ses lèvres ensanglantées révélant leur couleur grise bleutée comme le reste de sa peau, se baissant pour tendre la main à Jeff et ainsi l'aider à se redresser. Celui-ci répondit à son sourire, laissant apparaître à la lumière ses paupières brûlées et son sourire de l'ange : en effet, de large entailles profondes apparaissaient de part et d'autres de son visage pâle et ses yeux étaient entourés d'un noir de suie. Il accepta la main qui lui était tendue, se relevant tandis que le calme ne semblait pas revenir : les clients s'agitaient, choqués mais surtout paniqués, mais avant qu'ils n'aient eu le temps d'oser sortir ils se retrouvèrent nez à nez avec la motarde qui s'était postée devant la vitre brisée, seule échappatoire puisque Jeff et Jack se situaient devant la porte du bar et semblaient aussi décidés que leur camarade à ne laisser personne s'enfuir.

Que personne ne sorte d'ici, vous allez être pris en charge, le premier qui fait un pas au dehors je lui promet que je ne le raterai pas.

Disant cela, elle chargea son arme à feu qu'elle avait ramassé et afficha un sourire hautain à l'un des clients qui s'était arrêté net devant elle, terrifié.


Dernière édition par Siegfried le Ven 28 Aoû 2015, 09:51, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Once upon a nightmare   Once upon a nightmare EmptyMer 12 Aoû 2015, 18:35

Je pensais que rien d'extraordinaire pouvait m'arriver dans ce bar. Il était miteux et situé au fin fond des bas quartier d'une grande ville. Il y en avait des centaines strictement identique. Je me posais confortablement sur le tabouret en cuire. Le comptoir donnait sur toute la salle. Une poignée d'habituer avait réserver les meilleurs tables. Ils jouaient à deux ou à trois aux cartes. La plus part misé de petite sommes, mais ce n'était pas le plus important. Leurs grosses voix de fumeur résonnais joyeusement dans la pièces. Le nez un peu rouge, il devait vivre ici la moitié de leurs temps. Le resté était pour gagner assez pour boire. Sa devait faire longtemps que leurs femmes avait quitter la demeure conjugale. Je souriais doucement en me penchant sur un autre groupes de personne. Des hommes d'affaire pec sec et hautain. Il avait certainement finie le bureau que tard dans la soirée. Ils s'étaient réunis en petit groupe comme des hyène pour se moquer sur leurs malheureux emplois. Demain, il recommenceront leurs sourires de façade de commerciale. Enfin, il n'y en avait que très peu d'individus isolé. Si je me compté, nous étions environs une dizaine. Au bar, il y en avait deux. Il était assis l'un à coté de l'autre en discutant du mach retransmis par la mini télévision. Plus loin, deux couples sirotaient amoureusement leurs jus de fruit et leurs café. Un homme attendait sa belle depuis plus de dix minutes. Elle était certainement partie au toilettes pour ce faire une beauté.

Les derniers personnes s'en allaient vers la sortie. Ils récupéraient auprès d'un serveur leurs affaires. L'homme, galant, tenu la veste de ce qui devait être sa fiancé. La jeune femme était d'une grande élégante dans sa tenus sobre. Un tailleurs beige claire couper de manière assez droite lui donner une air de femme d'affaire. Ses escarpins marrons la surélever de quelques centimètres pour lui faire atteindre une taille normale. Elle avait de beau cheveux châtain claire au reflet blond. Lisse, elle les maintenait dans un chignon grossier. Quelques mèches plus souple, tomber harmonieusement sur son visage fin. Elle devait faire un métier comme professeur ou avocat. Une certaine aura ce dégager de cette demoiselle. Son compagnons était tout le contraire d'elle. Un homme à l’apparence assez négligé. Sa chemise était mal boutonné laissant voir le haut de son torse. Sa cravate était ranger dans la poche gauche de son pantalons. Son costume cérémonieux de salaryman avait était troquer pour une paire de chaussure italienne confortable et une chemise légère. Sa blouse était porté sur l'épaule. Il avait un genre Badboy assez séduisant. Ses yeux sombre et son sourire charmeurs faisait de lui, un des rares hommes nobles dans ce bar.

Je sirotais machinalement mon jus en jouant avec les glaçons grâce à ma paille. Je m'étais particulièrement amuser à faire le descriptif des personnes présence dans le bar. J'avais oublié les serveur. Mais ceux-ci était tous aligné avec le même costumes de service. Un tablier noir tout simple cachant une chemise blanche. Leurs coiffures était tiré à quatre épingle. Pour les hommes, maintenus fermement en arrière avec du gel ou une raie stricte au milieux. Pour les femmes un chignon réglementaire était de mise. Leurs visages étaient la seule choses qui permettait de les différencier. Le local quand à lui était dans un style ancien mais assez simple. Le bar était en bois polies. Une grande vitre se situant derrière le barman qui frotter un verre. Des tableaux ornée un peu partout la pièces. Les cadres imposant en or rendait bien sur les murs au couleurs foncés. Les lumières était particulièrement vive au niveau du comptoir. Les tables du fond avait des lumières tamisé certainement pour rendre un peu plus l'ambiance intimes. Je soupirais en me levant de mon emplacement. Je me rendais tranquillement au toilettes des hommes. La porte était opposer a celle des toilettes pour dames. La aussi rien d'extraordinaire, une pièce blanche avec un chiotte à ma droit, un truc pour pisser devant et un lavabo à gauche.

Je m'installais confortablement la où je pouvais facilement me soulager. J'avais en face de moi, une image assez drole d'une bonnes sœur. Elle nous pointé du doigt en rigolant. Dans sa bulle y avait marquer ''petite bite mon gars''. Je laisser un petit rire discret m'échapper. Le patron avait un humour assez particulier pour mettre ça. J'attendais de finir ma petite commission quand un bruit déchirant explosa près de mon oreilles. Le mur qui séparé les deux pièces venait de cédé. Je sentis des bouts de la cloison frolé mon visage. Je me fis même frapper par le cadre de la sœur qui tomber dans les toilettes. Je me reculais rapidement pour me cacher derrière les cabinets. La force du choc avait tout envoyer se fracasser derrière moi. La réserve d'eau commencer à fuyait se déversant lentement sur le sol en petit plop régulier. C'était une misérable cloison faite en papier ma parole ! J'avais même pas finis de pisser. Je tremblais légèrement en laissant le bout de mon nez regarder par dessus le grand tourbillons. On ne pouvait plus voir. Les lumières c'était éteinte après l'explosion. Naïvement, j'avais pensé à une fuite de gaz. Elle avait fait sauté les conduits ou le vieux poêle. Ah, non, lui il marchait au bois. Je plissait légèrement les yeux. Ils avaient besoin d'un petit temps d'adaptations pour passer du jour à la nuit.

Quand je réussi à voir un peu plus claire. Je remarquais que les toilettes n'était pas les seules a s’être fait détruit. Mon pauvre trône ne ressemblait plus à rien. Je voulais être rembourser pour la mauvaise qualité du service et pour ne pas avoir finis mon jus de fruit. Une légère mou venait se dessiner sur mon visage. Je me relevais pour essayer de m'approcher. Seulement, je rangeais rapidement mon courage dans ma poche et la ferma à double de tours. Revenant me cachais derrière mes toilettes adorés. La pièces n'avaient plus rien à voir avec celle d'un bar. C'était devenus un véritable champs de bataille où trois pions s'affronter. Éclairé par les fars du moto qui grondé comme une vieille voiture des années 60. On entendaient les bruits des gens pleurnichant sur leurs sorts. Personnellement, je venais d'aller au toilettes donc niveau vessie ça allait. Seulement, je ne pouvais pas calmer mes tremblements de dents malgré toute ma bonne volonté. Je regardais d'un petit air de fouine ce qui était en train de se passer. Un homme se tenait à coté de la moto. Sortant un pistolet certainement fut l'éclaire et le bruit assourdissant du pan. Il visait une sorte de monstre bizarre. De mon trou de souris, j'avais du mal à voire toute la scène. C'était un combat féroce que ce livrait les deux camps. Les humains VS la bête.

La chose ne semblait pas tellement apprécier qu'on lui résiste. Des flammes commença à bruler tout autour de son corps. On pouvait sentir d'ici la chaire calciné. Je m'avançais à peine pour essayer de mieux voir à quoi elle ressemblait. C'était assez difficile sachant qu'un des deux hommes me tourner le dos et cachais le plus gros du combats. Pas qu'il avait l'air bien en chaire, simplement ce qui fallait pour se mettre dans mon champs de vision. Je me mordais la lèvre inférieure, ce truc pousser des hurlements en nous glacé le sang. Si je m'en sortais vivant, je devrais m'excuser auprès de ma maman et m'excuser. Faut toujours écouté sa maman, toujours... J'allais regretté ses paroles si je m'en sors. Malgré moi, je sentais des envie de crier et des nœuds se former dans mon bassin. J'avais le souffle court et le cœur qui battait la chamade derrière ma cachette improviser. On entendu un hurlement d’alerte quand la bête ce dirigea vers moi. Elle visait le type juste devant mes yeux. J'allais me mettre à crier quand une troisième ombre fila à une grande allure pour attraper la créature. Je le voyais agripper comme un Koala à la bête qui essayait de ce défendre. L'homme était déterminer à ne pas la lâcher. Finalement un dernier hurlement remplis mon corps d'effrois. Puis plus rien, le silence s'installa dans le bar qui n'était plus qu'un champs de ruine...

La lumière se mis à grésiller doucement avant de revenir complètement. Je me tenais le visage en rageant légèrement. Je me frottais rapidement les paupières pour pouvoir voir l'état des lieux. La pièces était en désordres tout était détruit et tapissait d'une jolie couleurs rouges sang. Un gros amas était étalé sur le sol. Les restes du monstre achevé. Je notais qu'une grande partie de la gorge avait était arracher. Je comprenais mieux maintenant le craquement aigus et la position loufoque d'une des ombres. Je me relevais doucement, me cachant derrière un bout de cloison qui resté encore intacte. Devant moi, une femme en tenu de motarde toute en cuire me faisait face. Elle avait une voie grave, c'était elle que j'avais pris pour un homme. Je soupirais, heureusement qu'elle ne saura jamais. Vu son attitude de sang chaud, mon corps n'aurait peut-être pas survécus. Malgré son air assez sauvage, elle avait un physique assez ravageurs. Enfin, il fallait faire abstraction du sang. Je tournais le visage vers un des deux garçons. L'un malgré avait un air de panda. Son visage était rond et mignon. Seulement comme la fille, leurs peaux était particulièrement étrange et l'absence d'yeux pour le jeune homme le rendait encore plus étrange.

Le dernier avait un sourire gravé d'une oreille à l'autre. Il ressemblait à l'homme qui rit d'un des romans de Victor Hugo. Sa peau n'était mieux que celle de ses deux autres compagnons. Il était toute assez particulier dans leurs genres. Le sang leurs donner une certaine classez assez macabre. Fermant les yeux, je voulais m'en aller d'ici. Mais comment ? Fuir par les portes était impossible. Il avait veillé à ce mettre devant. La fille garder comme un chien enrager la fenêtre. Ses douces paroles menaçante avait fait tenir en place les pauvres clients. Comme moi, il n'étais pas plus rassuré par leurs sauveurs que par le monstre qui nous avait attaquer. Fermant les yeux un moment, j'essayais de me rappeler la configuration du bar. Il y avait une petite fenêtre non surveillé mais, à part des enfants personne ne pourrait y passer. Soupirant, je restais bien cacher dans mon coins en cherchant un moyens de fuir. Je voulais pas rester là, ni même me faire ''prendre en charge'' par ses fou. Je marmonnais dans mon coins quand une lueur m'apparut. Il avait effectivement une sortie libre. Je me tournais un moment pour envisagé mes chances. Un hommes avaient essayer de passer mais, la femme l'avait tout de suite recadré. Dommage pour eux, moi j'allais pas resté là. Je passais discrètement dans le couloir en faisant le moins de bruit possible.

Je regardais au-dessus de moi avec un grand sourire digne de l'homme qui rit. Je montais doucement sur des bouts de roches. Elle faisait un petit tas qui me permettait d'avoir accès au plafonds. Avec un bout de fer, je dévissais rapidement les petites vises de la plaque. Sortir par les conduit d'air compté ? Je rigolais un peu, j'avais pensais à sortir par les conduits d'évacuations des eux seulement je n'étais pas encore assez minces. Je montais comme je pouvais en me rendant compte que je fais un boucan de tout les diables. Accrocher en mode spider-man contre le conduit. J'avais à peine eu le temps de m'y glissait que j'entendais déjà des bruits de pas. J'essayais de monté seulement l'attraction de la terre me fit retomber. Je ne sais pas comment j'ai évité de me casser les os des fesses. Mais je retombais comme un bel idiot la tête dans les gravas. Ma première réaction fut de supplier :

''Me bouffé pas s'il vous plaît !!!''
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Heathcliff

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MessageSujet: Re: Once upon a nightmare   Once upon a nightmare EmptyVen 28 Aoû 2015, 10:36

Les clients avaient jugé qu'il valait mieux ne faire aucun bruit et obéir, même si nombre d'entre eux réfléchissaient à un moyen de s'échapper, persuadés que leur vie était en danger. Chacun avait regagné sa place d'origine et certains fixaient le corps ensanglanté de la bête à terre. La motarde jeta un œil au dehors pour s'assurer que personne ne passait dans les environs et que, si c'était le cas, personne ne verrai ce qu'il s'était passé à l'intérieur. Avec un peu de chance face au calme ambiant personne ne pensera à un quelconque danger. Cependant, dans le silence ambiant, un bruit métallique survint, faisant sursauter toute l'assemblée, les trois attaquants compris. Les trois personnages relevèrent la tête vers les conduits d'aération qui passaient au dessus d'eux. La motarde releva un sourcil, perplexe.

Euh... Mary, je crois que...
Shh !

Jack et Jeff échangèrent un regard - si néanmoins Jack en était apte - jusqu'à-ce que ladite Mary face un signe au premier pour lui dire de venir prendre sa place. Laissant son ami assis à côté de la porte d'entrée, il s'exécuta et se posta devant la vitrine brisée tandis que Mary avançait à pas de loup dans la pièce. Aucun son ne survenait, en dehors de celui du conduit métallique. La motarde s'arrêta après quelques pas, quand elle remarqua alors une silhouette qui tentait vainement d'entrer dans la bouche d'aération. Un soupir s'échappa d'entre ses lèvres, elle fit alors claquer ses talons hauts jusqu'à atteindre la personne qui se démenait mais n'eut même pas à l'attraper car celui-ci tomba avec lourdeur sur le séant, se mettant à chouiner :

Me bouffez pas, s'il-vous-plait !!
Heiin ?

Mary le regarda avec un air dégoûté, semblant visiblement outrée qu'on puisse penser qu'elle mangerai quelqu'un. Elle regarda par dessus son épaule, échangeant un regard avec Jeff qui haussa les siennes d'un air de dire qu'il ne comprenait pas plus, puis faisant un signe à Jack l'interpela :

Jack ! Tu te charges de celui-ci, si on le perd des yeux il va encore faire des bêtises.

Disant cela elle se retourna sans autre mot en direction du curieux personnage qui venait de tenter une fuite désespérée, et regagnant la vitrine éclatée avisa du regard un client qui avait visiblement eue l'idée de fuir avant qu'elle n'y parvienne mais s'était abstenu à la vue de l'arme qu'elle portait. Jack avait quitté le poste qui lui avait été assigné et trottina littéralement, comme un enfant, vers la personne que lui avait indiqué Mary. Du moins, c'est ce qu'il semblait à première vue, mais Jack ne regardait pas du tout dans sa direction, regardant au contraire au dessus. Il ne semblait pas détailler le conduit ou la grille, et rien sur le mur ne pouvait attirer son attention. Il s'arrêta devant le maladroit qui avait tenté de fuir, sembla réfléchir un instant, puis se mettant soudain à croupis sourit à pleines dents.

Salut !

Sans attendre, il porta ses mains au niveau du cou du jeune homme. Des souffles furent retenus, la plupart des clients craignant de le voir « s'en charger », ou plus vraisemblablement l'étrangler avec froideur. Mais au contraire, les doigts de Jack ne firent que courir un instant sur la peau du cou de sa « victime », remontant vers son menton qu'il se mit à tâter avec attention avant de littéralement coller ses mains aux joues de l'homme, les passant sur tout son visage et même ses cheveux à la manière d'un enfant découvrant un visage. Il s'arrêta un court instant sur ses joues à nouveau, prenant un air perplexe, puis se mit à passer ses mains sur les épaules, les bras, les mains de la personne. Mary, qui discutait avec Jeff à propos d'un appel téléphonique visiblement, se retourna pour fixer avec perplexité Jack.

Jack ! Qu'est-ce que tu fais encore ?

Pas de réponse, Jack semblait réfléchir à quelque chose. Il retira ses mains de celles de l'autre, porta son doigt à ses propres lèvres d'un air interrogateur, et soudain abattit sa main en direction de l'entre-jambe de la personne, lâchant un cri élémentaire lorsqu'il l'eut atteint.

Ha ! C'est un homme !
JACK !

Jack se retourna avec un sursaut, une expression penaude sur le visage. Malgré l'absence d'yeux du personnage, son visage était étonnamment flexible, permettant d'y lire ses sentiments avec la clarté de l'eau. Mary porta sa main à son front avec un soupir de désespoir alors que Jeff retenait un rire un peu plus loin, rire mal contenu puisque n'importe qui aurait été capable de l'entendre glousser dans son coin. La motarde lança un regard sévère au garçon à capuche :

Je t'ai dit de le surveiller, pas de le tripoter !

Cette fois-ci, Jack lui adressa un sourire désolé auquel elle répondit d'un soupir rieur avant que soudain ne retentisse une sonnerie de portable. Jeff sortit le sien de sa poche en relevant un sourcil tandis qu'au dehors quatre voitures s'arrêtaient. Ce n'étaient pas de ces voitures qu'on voit dans les mauvais films d'action, au contraire d'être toutes du même modèle et toutes noires elles avaient chacune leurs propres marque et couleur. Jeff porta son téléphone à son oreille.

Qu'est-ce qu'il y a ? ... Ouais ils sont là... Comment ça ? ... Okay, je te met le haut-parleur.

S'exécutant, Jeff se releva alors pour tourner le téléphone en direction de Mary et des personnes qui sortaient alors des voitures. La voix d'une jeune femme sortit du combiné, raisonnant dans la pièce.

Okay les gars, en l'absence d'un officier supérieur je me charge de l'opération de récupération des témoins.

Les hommes sortis des voitures échangèrent des regards et des haussements d'épaules mais ne se plaignirent pas, s'avançant pour écouter leur chef temporaire. La jeune femme poursuivit :

Mary, combien y a-t-il de témoins ?
Mh... Une quinzaine en comptant les employés du bar.
Bien. Récupérez-en chacun quatre. Daniel, tu me les porte au Terrier. Ben, je compte sur toi pour les mener en sécurité jusqu'aux bureaux. Jessie, l'endroit habituel.
Bien cheftaine !, fit l'intéressé en arrangeant une espèce de chapeau de cow-boy sur sa tête avant d'aller chercher quatre clients qui tremblaient comme des feuilles.
Marshal, tu amènes les plus troublés et les blessés aux services de soin.
Il y a un problème, madame.
Quoi ?

La voix de la jeune femme avait résonné avec sévérité, invitant ledit Marshal à s'exprimer au plus vite :

Les services de soin sont en difficulté dernièrement, je ne peux amener les témoins que par deux.
Mary ?
Si chacun prend en effet quatre témoins et Marshal deux, il nous en restera un ici.

La jeune femme réfléchit un instant, mais finalement reprit après un soupir :

Alors nous allons devoir encore abuser de la sympathie de Will. Mary, tu t'en charges.
À vos ordres.

L'appel fut raccroché tandis que les hommes sur place s'empressaient de mener leurs témoins dans leurs véhicules. Cette fois-ci, ce fut au tour de Mary de prendre la tête des opérations, leur indiquant les différents témoins qui leur conviendrait le mieux. Elle se tourna vers Jack et l'homme qui avait tenté de fuir, prenant un air perplexe.

... Et lui ?
Il n'a pas quitté les toilettes depuis notre arrivée, l'informa Jeff.

Cette phrase sembla suffire à la motarde, car celle-ci releva d'une main ses longs cheveux blancs si souples qu'elle n'eut aucun mal de l'autre à les garder sous son casque de moto qu'elle ramena sur son visage. Elle releva la visière, son fin regard se posant sur le témoin quand elle arriva à leur hauteur. Elle lui tendit la main :

Toi, tu te ramènes avec moi, je vais m'occuper de toi. Jack, tu rentres avec Jeff pour qu'il se fasse soigner, le temps que j'aille chercher les affaires du rouquin avec lui et je vous rejoins.
D'accooord, répondit Jack comme un enfant.

Jeff sembla laisser échapper un soupir mais se releva tandis que Jack le rejoignait. Les voitures commençaient à quitter les lieux, emportant toutes personnes présentes dans la salle tandis qu'un autre agent qui était venu avec Marshal restait sur les lieux pour les sécurisé, déguisé en agent de police. Mary tenta de parler d'une voix douce pour rassurer son protégé :

J'irai pas trop vite, si tu n'es pas habitué à la moto. Normalement le casque de Jeff devrait t'aller... Comment je dois t'appeler ?


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MessageSujet: Re: Once upon a nightmare   Once upon a nightmare EmptyDim 30 Aoû 2015, 13:10

Je me retrouver la tête en bas. Le cul endolorie et les muscle encore raidis par la surprise. Je ne pensais pas qu'entendre les talons de l'autre cinglé me ferait si peur. Faut dire qu'elle était arriver en les claquants fort comme les directrice dans les établissement priver. Le genre de femme à l'allure hautaine et froide qui prenait plaisir à martyriser ses jeunes étudiants. J'étais plutôt fier de ma métaphore. Elle lui convenait parfaitement. Son menton lever et son petit air suffisant à elle-même. Je la regardais d'en bas sans oser me mouvoir. Même vu d'en bas ses courbes était bien proportionner et généreuse. Elle devait faire des ravages si ce n'était pas une folle des grosses armes et des motos noir. Je connais beaucoup de garçon qui se sentirait blesser dans leurs virilités. Aussi, ce n'est pas étonnant qu'on la compare à un mec. Je gloussais en avalent ma salive. Elle n'avait pas l'air de me vouloir du mal. Enfin pour l'instant. Je la voyais échanger un regard rapide avec ses coéquipier avant de la voir faire un signe. J'en profité pour me relever doucement, j’espérai qu'elle ne m'oblige pas à rester à ses pieds. C'était assez dégradant comme position. Je me massais la nuque en me retrouvant légèrement derrière. Elle me toisé du regard comme une femme désespéré par son marie et qui n'attend plus rien de lui. Elle envoya quelqu'un d'autre pour me surveiller. Le malade mentale qui avait fait un gros câlin à la méchante bébête.

Je blêmis légèrement en le voyant arriver d'un air totalement innocent. Il avait l'air d'un gamin tout a faire banal. Seulement mon estomac se nouer en pensant à tout ses films d'horreur où le monstre n'était qu'une gentille petite poupée. Je prenais une grande respiration en essayant de garder de la contenance. Tout le monde avait l'air rassuré qu'il ne s'occupe que de moi. Peut-être le craignait-il plus à cause de ce qu'il avait faire à un truc deux fois plus grand et trois fois plus gros. Je faisait un léger mouvement de la tête pour répondre à son salut. Je n'arrivais pas à me détendre. Mon plan d'évasion était tomber à l'eau et maintenant je me retrouvais à être baby-sitter par maman Jack. Son prénom me faisait penser à Jack l’éventreur enfin pour lui c'était plutôt Jack l’égorgeur. Je mettais un moment perdu dans mes pensés. Une erreur presque fatal car je le sentis mettre ses mains autours de mon cou. Par reflex, je me mis a reculer en blocant ma respiration. Jusqu'à preuve du contraire, j'avais entendu l'autre femme dire qu'on devait me surveiller pas m'étrangler. Il ne me lâchais pas si facilement, il se colla encore une fois en remontant rapidement ses sales patte sur mon visage. Ah mais non, arrête de me toucher ! Je sais pas où t'as laisser traîner des sales pattes. Je veux pas me retrouver avec du sang de la bête sur la tronche.

Je tirais une grimace de dégoût en pensant très fort. 'Beurk, je veux me laver le visage.' Pourtant le gosse n'étais pas violent. Ses mains caressais doucement ma peau comme pour dessiner mes traits. Il agissait à la manière d'un aveugle. Je suis con des fois, normal qu'il agisse comme ça il n'as pas de yeux comme la plus part des êtres humain normalement constituer. Mal à l'aise, je serrais légèrement les poing en le laissant faire ce qu'il voulait. De toute manière, j'aurais pas pu courir loin a cause de ses deux amis qui monter la garde. Mon visage avait l'air de le déranger vus le changement d'air sur son visage. Il descendu tout aussi légèrement sur mes épaules comme pour savoir l’envergure de mes épaules. Je n'étais très grand pour mon age et pas super très fort non plus. Sa devait le déranger. Enfin, ça va, je me retrouver pas avec un corps d’androgyne non plus. J'étais a peine plus grande que la moyenne des femmes. Seulement, j'avais un peu de muscle, un poitrine plate qu'on appelle des pectoraux. Il descendu encore jusqu'à mes mains qu'il trifouiller comme un jouer. Je me sentais stupide de lui laisser me caresser les doigts. Physiquement, on devait avoir le même age, alors pourquoi réagissait-il comme un gamin de quatre ans.

J'allais le repousser quand il enleva ses mains de mon corps. Il avait toujours le même air idiot sur le visage. Il n'avait pas l'air de comprendre. J'allais lui demander ce qu'il chercher chez moi quand sa main venus se placer dans un mauvais endroit. Je devenais plus blanc que blanc en sentant sa main se poser sur mon entre-jambes. J'étais tellement surpris que je mis quelques seconde avant de réagir à cette attaque. Ma main allait faire un volte plané dans la tête de Jack quand son camarade l'interpella. Elle semblait le sermonner ce qui rendu le gamin tout pénaux. Quand a moi, je fusillais l'autre asperge au fond qui se foutait de ma gueule. Heureusement pour moi, peut de personne m'avait vu me faire toucher par cet énergumène. je prenais une grande respirations près à faire valoir mes draps. La poisse semblait pourtant ne pas vouloir me quitter. Au moment où j'allais produire le premier son, la sonnerie d'un téléphone retentit. Je soupirais et finalement rester dans mon coin. Je demander plus rien jusqu'à qu'on vienne me chercher. Non, je ne boude pas ! Je me poser contre un mur en fixant la scène. Il avait prévu de nous emmener où ? Et surtout de nous faire quoi ? Comment dire que c'est difficile de faire confiance à un trio qui nous menace avec des armes, qui survie avec des bouts de verre dans le dos et qui manger complètement les monstres sortie de nul part.

Ils avaient l'air de s'organiser tranquillement dans leurs coins. Tout le monde se regarder du coin des yeux comme pour évité de ce faire remarquer. Moi je bouder toujours dans mon coin. Je soupirais et finis par voir les gens se faire répartir par petit groupe. Certains partir avec des nouveaux arrivant encore plus paniquer qu'à l'idée de rester avec les trois fou. De mon coté, personne venait me chercher. Il allait faire quoi de moi ? Me tuer ? Enfin ce n'est pas avec ma famille qu'on viendrait à s'en plaindre. Au loin, je voyais la femme discuté avec celui qui se foute de ma gueule avec son sourire d'ange. Il avait l'air de discuté de moi vus le regard que me lança la demoiselle d'un air complètement impassible. Je veux rentré chez moi et oublier cette soirée de fou furieux. Je baisser la tête fatiguer avant d'entendre de nouveau les talons claquer dans ma directions. Je lever un regard un peu angoisser par ce qui aller arriver. Laisser moi tranquille. Elle tonna les directives et me pris avec elle. Comment ça on aller chercher mes affaires ? Rouquin ! Mais oh ! Je suis d'un magnifique roux, pas un rouquin banal. Je suivais silencieusement jusqu'à arriver vers le centre de la pièces. Je sentais quelques choses de liquide sous mes pieds. Faisant une légère grimace de dégoût en écoutant la femme :

''Je m’appelle … Théo … ''

Je ne sais pas si dire mon prénom à la demoiselle était une bonne idée mais bon. Je n'avais pas d'autre choix. Je prenais le cas en l'examinant longuement. Pas de poux ? De truc louche à l’intérieur ? Ok ! Bon, je le mettais sur ma tête. Elle m'avait parler de manière douce, ou du moins, je l'imaginais assez tendre dans sa manière de parler. Même si je n'étais pas rassuré à l'idée de monté sur la même moto qu'elle...

''Jeff c'est celui avec le sourire jusqu'au oreille ?''
demandais-je crédule

Je montais quand elle me fis signe sans vraiment comprendre la situation. Réellement, c'était trop bizarre pour être réelle...
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MessageSujet: Re: Once upon a nightmare   Once upon a nightmare EmptySam 13 Fév 2016, 01:42

Les quatre voitures s'éloignaient dans un ronronnement presque rassurant au coeur du chant de la pluie tandis que les deux jeunes gens défigurés adressaient un dernier signe à Mary avant de partir eux-même par ce qui semblait être leurs propres moyens : Jack avait pris la tête avant de s'enfoncer en courant dans une ruelle, suivi tant bien que mal par Jeff qui semblait devoir s'accrocher quelques fois à son bras pour éviter de le perdre de vue. Mary s'arrêta au coeur du bar avant de se tourner à nouveau vers son protéger qui l'avait suivi jusqu'ici et, prenant le casque de Jeff qu'il avait laissé à terre, se tourna vers ledit rouquin pour le lui tendre. Celui-ci affichait une grimace qui fit relever un sourcil à la motarde.

Je m'appelle... Théo...
Eh bien Théo, ravi de te connaître : nous risquons de nous croiser quelques fois dans les prochains jours.

Sans plus attendre et dès que Théo prit entre ses mains le casque de Jeff, Mary se tourna afin d'empoigner sa moto qu'elle releva sans trop de difficulté. Elle l'observa brièvement mais la carrosserie de la machine infernale semblait plus dur que de la pierre et n'avait pas vraiment de marque de la précédente chute. Elle passe brièvement sa main sur une surface réfléchissante sur le réservoir : à présent débarrassée des quelques taches de sang qui la recouvrait, la surface se révéla être un miroir. En vérité, plusieurs miroirs étaient intégrés à la carrosserie de l'engin. Elle s'assura que tous étaient intacts le temps que Théo soit prêt et, voyant du coin de l’œil qu'il s'était enfin décidé à mettre le casque elle s'installa sur sa fidèle monture, l'invitant à faire de même.

Jeff, c'est celui avec le sourire jusqu'aux oreilles ?
C'est ça. Quant à celui qui t'a examiné un peu trop minutieusement, c'est Jack. Ne lui en tiens pas rigueur, même s'il ne le semble pas à sa manière de se déplacer, il est aveugle.

Alors que Mary lui expliquait cela, Théo monta derrière elle. Elle lui laissa le temps de s'accrocher à elle et, lui adressant un sourire par dessus son épaule tourna la clé de contact. Le moteur rugit.

Au fait, moi c'est Mary. Bloody Mary.

Elle acheva les présentation en tournant la poignée de l'accélérateur : la moto cabra comme un cheval avant de s'élancer hors du bâtiment mis à mal par sa précédente entrée fracassante. Elle adressa d'une main un signe d'adieu au faux agent de police qui restait alors sur place et qui lui répondit d'un signe de tête, puis la machine s'élança dans les rues. Bien qu'elle semblait faire des efforts pour ne pas aller aussi vite que ce qu'elle le faisait avec Jeff qui se plaignait plus tôt de nausées par sa faute, elle roulait tout de même bien au dessus des limites de vitesse. Elle s'éloigna un peu des ruelles beaucoup trop étroites pour définir une bonne route pour rejoindre les habitations et, lorsqu'elle arriva enfin dans une plus grande rue, se décida à tourner les tête pour que sa voix porte mieux en direction de Théo, ne semblant pas être troublée à l'idée de quitter la route des yeux pendant ce temps.

Bon l'ami, tu me dis où tu habites ? On va passer vite-fait chez toi pour prendre quelques affaires, tu vas habiter chez un ami quelques jours...


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MessageSujet: Re: Once upon a nightmare   Once upon a nightmare EmptySam 13 Fév 2016, 12:07

J’eu du mal à la croire quand elle me dit que le gamin étrange était aveugle. Pour moi, il avait l’air de très bien voir. Je sens mon cerveau essaye de s’enfuir. J’ai l’impression qu’il chercher à se protéger d’un mauvais souvenir. Ah oui, j’aurais mieux fait de ne pas chercher. Ma peau blanchis d’un seul coup en me souvent de ce moment traumatisant. Il m’avait tripotée un peu partout pour me détailler puis avec placer sa main à un endroit particulier. Plus je m’en souviens plus je me demande si je dois être dégouté ou rougir de honte. Enfin, je m’accrocher maladroitement à la demoiselle. J’étais déjà monté en moto, là n’était pas le problème. Mais comment dire que je redoutée la baffe. Celle qu’elle me mettrait si j’osais faire quelques choses qui lui déplaise. Je me tenais en essayant d’oublier la raison, la fameuse raison qui faisait que je me retrouvais dans cette situation. Je fermais les yeux un moment en pensant que ça n’allais pas être terrible, ou pas aussi terrible que me le faisait imaginer mon esprit.

Au faite, moi c’est Mary. Bloody Mary.

Hein ? STOP la moto, je veux descendre. Au secours on m’enlève. Le réflexe naturel serait de sauté de l’engin démoniaque. Mais pour ma survie, je préfère encore fermement m’accrocher. Cette femme était un monstre de la conduite. Elle roulait vite, trop vite comparée à ce qui était recommandé par la limitation de vitesse. J’hurlais un moment effrayé. Mon visage, pitié dite moi que ma chair est bien restée sur mes os. Je le sens plus du tous mes joues. D’ailleurs, je ne sens plus mon cœur non plus. Il continue de battre ou pas ? Oui, je crois sinon j’aurais lâchée ma prise. J’ai du mal à me dire que je suis sur la même moto que la fameuse Bloody Mary. Dans cette histoire, la jeune fille était gravement malade. C’est parent l’ont enterre en pensant qu’elle était morte. Laissant simplement une ficelle attacher à son poignet qui était relié à une clochette. Cette dernière était mises en cas de réveille de la supposer morte.

La mère de Bloody attentifs que sa fille se réveille et ce laissa dépérirez. Son maris finis par l’endormir avec un somnifère et la rentra chez eux pour qu’elle puisse dormir. Le lendemain matin, on retrouva la cloche de Mary par terre signe qu’elle avait été sonné. Le père enleva toute la terre pour sortir sa fille. Seulement, c’était trop tard, elle était morte affecter Depuis on dit qu’on doit se méfier des miroirs. Je me mordais les lèves. Cette moto, elle était pleine de miroir. Elle va aspirée mon âme. Heureusement que j’ai la vessie vide, j’aurais pu m’oublier une seconde fois. Je vais mourir, d’une manière ou d’une autre. C’est devenu une certitude que je ne survivrais pas à la fin de cette nuit. Je m’étais tellement perdu dans mes pensées que j’avais complétement oublié de regarder la route. Le paysage défilé à une vitesse folle. Heureusement, j’arrivais à savoir à peut-près dans quel quartier on se trouver

Bon l’ami, tu me dis où tu habites ? On va passer vite-fait chez toi pour prendre quelques affaires, tu vas vivre chez un ami quelques jours…

J’ai le droit de refuser ? Je ne veux pas aller chez un de ses amis, ni même lui montré où est ma maison. Je veux simplement rentré chez moi et tout oublier de cette soirée. Faire comme si ce n’était qu’un très mauvais rêve. J’essayais d’articuler quelques choses. Le son ne parvenait même pas à mes oreilles. J’hésité, mais bon, de toute façon ce n’était pas comme si je pouvais fuir :

J’habite à deux rues d’ici à droite

Elle roula vite, trop vite et le moment où elle coupa le contacte fut le moment où je fus le plus heureux sur terre. J’avais la tête légèrement en train de tourner. Les jambes qui tremblaient encore en difficulté pour retrouver leur stabilité. On se trouver dans une petite résidence fermer. La maison était une petite chaumière avec deux étages. Assez impression, mais quand on sait que c’est une résidence pour étudiant. J’espéré que tout le monde dormais. Ce serrait gênant de réveillé le gérant ou de me faire surprendre par les autres. Après tout, si Bloody venait avec moi, ils allaient tous ce faire des films. Surtout quand on sait qu’il ne supporte pas qu’on rentre aux beaux milieux de la nuit avec une fille plus jolie que la sienne. Satanée Gérant.

J’imagine que tu m’accompagne…

La question était un peu bête, mais qui ne tente rien n’a rien. Je soupirais en reposant le casque sur la moto. J’aurais aimé ne plus jamais vivre cette terrifiante expérience. Le portail grinça légèrement. Mon cœur s’arrêta une seconde fois en fixant la maison. Pas de lumière, c’est bon, je fonce. Je sortais la clef de la maison de mon sac et ouvrit la porte. La pièce principale était bien ranger. C’était un salon composé de meubles confortable. Des achetées à Ikea et de canapé bien rondouillet ainsi que des coussins pour faire la sieste. J’allumé la lampe qui laisser une lumière diffusé dans les pièces. On évitera d’attirer l’attention comme ça. Je monté directement à l’étage pour rejoindre ma chambre. Au contraire de tout le reste. C’était un espace complètement en désordres. Je mettais aux défis n’importe qui de trouver ce qu’il cherche. Des câbles de connexion jonché le sol avec les vêtements et quelques feuilles de cours. Mon bureau était composé de trois ordinateurs mis en veille cacher par un bordel monstre de stylos et de petite figurine.

Sur les étagères, il y avait des mangas, des revenus d’informatique et des figurines. Les murs étaient tapissés de mes mangas préférés. En y repensant, c’était vraiment un espace d’Otaru. J’avais même quelques peluches dans le coin des pièces. Elle se trouver au-dessus des lecteurs dvd et des consoles. Ma télé était cachée par un t-shirt qui aurait dû finir au sale.  Mes yeux firent un rapide topo de la situation. Je ne pouvais pas laisser rentrer Mary comme ça. Ah trouver ! Danger. Je me jeter à terre pour dissimuler discrètement un carton qui dépasser de sous mon lit. En y repensant, c’est la première fois qu’une fille rentré dans ma chambre. Je me mis à rougir comme une tomate. Pourquoi j’ai pensés à ça moi… Je me dépêché d’enlever les affaires des cours et mes consoles pour lui faire une place sur le lit.

Assis toi si tu veux le temps que je fasse mon sac…

J’attrapais un plus grand sac pour y fourrée rapidement quelques t-shirt, pantalons, surtout slip de rechange et chaussette. J’allais chercher mon plus petit ordinateur que je mettais à l’intérieur avec son chargeur et mon disque dur. J’éteignais les autres pc et écrivait rapidement un mot pour le gérant.

Voilà ! On va pouvoir partir !

Du moins, c’est ce que j’aurais voulus si une silhouette n’apparut pas au seuil de la porte. Je fis un sourire jaune en voyant l’ombre faire barrage pour sortir de ma chambre. C’était un homme ayant environs la vingtaine. Les cheveux courts marron et indisciplinés. Un léger bouc mal rasé et un regard de tueur. Étrangement, tout ce que j’avais vécus ne me semblait pas si dangereux comparée à ce que j’allais devoir vivre maintenant …

Gérant !
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MessageSujet: Re: Once upon a nightmare   Once upon a nightmare EmptyLun 04 Juil 2016, 14:46

La folie du moteur lancé à grande vitesse dans la cage du démon noir bondissant entre les ruelles se calma un bref instant au rythme d'une vitesse plus humaine tandis que Mary tendait l'oreille pour son protégé. Il semblait hésiter à lui faire part de l'endroit où il habitait. S'il craignait qu'elle revienne plus tard pour le tuer, c'était on ne peut plus stupide : si elle souhaitait réellement mettre fin à sa vie, elle l'aurait fait dès qu'elle l'avait vu tomber de sa bouche d'aérations. Visiblement, Théo devait se rendre compte de la futilité de cacher l'adresse de sa demeure, car bien vite il cria au dessus du grondement du véhicule :

J'habite à deux rues d'ici, à droite !
Reçu cinq sur cinq !

Une rotation du poignée et voila que le tigre noir bondissait à nouveau à grande vitesse entre les murs de la cité. En un rien de temps, ils arrivèrent devant ce qui était l'habitation de Théo, et avant même que celui-ci ait eu le temps de prononcer le moindre mot Mary fit freiner brutalement sa bête qui partit en crabe sur un ou deux mètres avant de s'arrêter sur le parking d'une résidence étudiants. Mary retira son casque, rejetant ses cheveux en arrière. Chaque mère d'argent retomba délicatement sur ses épaules alors qu'elle tournait la tête vers Théo : celui-ci titubait et marchait en zig-zag, semblant se sentir mal. Quel courage qu'ont les hommes de nos jours... Haussant les épaules, la sorcière descendit de son destrier noir pour suivre son actuel guide dans la demeure.

J’imagine que tu m’accompagne..., soupira Théo entre deux hauts-le-cœur.
Je ne rate jamais une occasion de découvrir les garçonnières les plus rares, plaisanta avec un sourire Mary tout en relevant un sourcil.

Les casques déposés à l'arrière de la moto, le duo trotta en direction de la porte principal. Un grincement du portail cédant à une poussée de main du jeune homme annonça leur venue dans la résidence, arrachant une grimace à Théo. Mary n'avait pas la moindre idée de pourquoi ce jeune homme était aussi nerveux à l'approche de son nid douillet. Il devait avoir oublié plein de petits détails indiscrets chez lui, du moins c'est ce que s'imagina la sorcière avec un gloussement grinçant.  Les pas du jeune homme s'accélérèrent dans l'obscurité de l'heure tardive tandis qu'il sortait ses clés et pénétrait dans sa demeure à une vitesse digne d'un nouveau record. Mary suivait d'un pas tranquille sur ses talons hauts, les mains posées sur les hanches et son éternel sourcil relevé sur le visage. Un douillet petit salon les accueillit. Il était aisé d'imaginer tout un groupe étudiant papotant gaiement dans ce cercle devant une télévision ignorée. Allumant une lumière comme pour tenter de leurrer les insectes trop curieux loin de l'endroit où ils allaient, Théo mena Mary à l'étage de la résidence et se précipita dans sa chambre. Mary suivait d'un pas plus tranquille, si bien que quand elle arriva dans la chambre Théo semblait déjà s'agiter depuis un petit moment dans ses affaires éparpillées en tous sens, ayant dégagé un lit. Tendancieux, surtout avec ce visage écrevisse.

Assis toi si tu veux le temps que je fasse mon sac…

Plutôt docile, Mary traversa la pièce de quelques enjambées élégantes avant de se poser délicatement sur le lit, n'apportant qu'assez peu d'importance au décor. Il lui avait fallut bien peu de temps pour faire l'inventaire : des vêtements éparpillés en tous sens comme dans la majorité des garçonnières, témoignant d'un empressement matinal à la préparation puisqu'un vêtement traînait sur la télévision, et un bon nombre de goodies et livres colorés semblaient crier à la face de qui veut "Je suis un Otaku coincé et puceau !" Bon, d'accord, la deuxième partie était inventée. En fait, la présence de toutes ces figurines piquait la curiosité de Mary : est-ce qu'il avait des sous-vêtements avec des héros de comics dessus ? Elle se pencha pour tenter de le voir tandis que le jeune homme remplissait un sac. Dans ce mouvement, son talon toqua contre quelque chose un peu plus loin sous le lit. La sorcière baissa la tête, relevant un sourcil.

Voilà ! On va pouvoir partir !

Sans vraiment prêter attention à l'annonce de son accompagnateur, la femme se baissa pour s'emparer de ce qui avait fait obstruction à son travail d'analyse sous-vêtementale : une boîte en carton sous le lit. Son regard s'illumina. Fait confirmé, Théo était bien un otaku coincé et fort probablement puceau, et sa collection de magazines pornographiques devait être relativement conséquente ! Concentrée sur ses fouilles archéologiques, Mary ne remarqua pas l'exclamation de surprise du garçon avant que celui-ci ne s'exclame bruyamment :

Gérant !

Ah, en effet, les résidences en avaient... Quittant des yeux l'objet qu'elle tentait d'extraire du coffre sous le lit du garçon, Mary détailla l'ombre qui se trouvait dans l'encadrement de la porte. Petits yeux perçants, commissures des lèvres tombantes, bouc mal soigné, mais un visage de bambin en devenir au moindre passage d'un rasoir jetable. Oh... Alors c'était donc sur le point d'arriver : le Grand Discours. Mais si, vous savez. Derrière ces dehors sectaires, cette appellation désignait tout simplement ce moment où vous tombez par malchance sur un pote qui, à un bas âge, se dispute pour savoir qui a la plus jolie petite voiture de la cour, et à un âge plus avancé veut se convaincre d'avoir la plus jolie fille. Le Grand Discours n'allait pas tarder à être provoqué, si le Gérant voyait Mary. Il serait aisé pour la femme de disparaître littéralement dans l'ombre en moins de deux, de trouver une échappatoire et que le Gérant n'ait jamais connaissance de sa présence. Mais franchement... la belle affaire !

Oh, tu as de la visite !

Se relevant et abandonnant ainsi sa précédente cible, la motarde fit les quelques pas qui la séparaient de la porte, passant à côté de Théo. Déjà très grande sans en rajouter, Mary dépassait au moins d'une demi-tête les deux hommes, fait exagéré par ses talons et sa stature fine et élancée qui appuyait sur ses longueurs. Elle laissa échapper un soupir rieur en se penchant vers Théo.

Bien, je vais t'attendre dans le salon alors, ne tarde pas trop à me rejoindre...

Puis, se redressant tout en rejetant ses cheveux derrière elle, elle passa souplement entre le Gérant et la porte et s'éloigna élégamment tout en faisant claquer ses talons. Franchement, les disputes puériles masculines ne la regardaient pas, et même si c'était particulièrement divertissant à regarder elle préférait passer son tour pour cette fois, regagnant le salon après avoir semé sa graine de discorde. L’hypocrisie sadique féminine...
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MessageSujet: Re: Once upon a nightmare   Once upon a nightmare EmptySam 09 Juil 2016, 16:06

Le temps était une notion particulièrement floue dans cette situation. Il passait soit très rapidement à un point qu’on ne le remarque pas. Soit terriblement lentement qui donne l’impression qu’on allait mourir par manque d’air. L’un ou l’autre était une situation peu appréciable. Surtout quand on se trouver en présence d’une personne considéré comme au-dessus de toi. Je n’imaginais pas à quel point ma tête devait faire rire les autres. En tout cas mes joues me brulaient de honte. Tandis que mon regard se faisait moins appuyer. Je fuyais le regard de l’homme qui venait de rentré dans ma chambre. Ce dernier lui ne se gêna pas pour me dévisageait en long, en large et en travers. Je n’avais pas besoin d’avoir des talents de télépathe pour comprendre qu’on risquait d’avoir une longue conversation. Elle allait certainement se dérouler de la manière suivante. Moi qui essaye minablement de me défendre et lui qui ne m’écoute pas en me coupant la parole pour m’enguirlandé. Je pouvais peut-être m’en sortir si elle ne faisait pas trop des sienne. Mais même sans connaitre le personnage, je pouvais me douté qu’elle ne me faciliterait pas la tâche.

J’aurais pu parier toutes mes richesses et même mon corps sur ce fait. D’ailleurs en deux minutes, elle ne décevait pas. Non seulement elle attisa le feu de la colère de mon gérant mais en plus elle trouva le moyen de m’embarrasser un peu plus. Si j’avais eu le cran ou même réellement la volonté. Je lui aurais dit d’arrêté ses conneries et d’aller voir ailleurs si on y était. Pour la seconde partie, Mary n’eut pas besoin de mon aide. Elle s’en alla comme un papillon content d’avoir lâché son venin avant de partir. Une véritable bombe qui me permis de sentir des coups d’éclaire me transpercé la chaire. Je ne sais pas pourquoi, mais je sens qu’aujourd’hui le monde m’en veux. Le destin s’acharne à vouloir m’a peau on dirait. Et malheureusement, la journée n’était pas encore finie. Mary allait certainement trouver divers moyens pour mettre m’a vie en danger. C’est un peu pour ça que je ne disais pas que la situation pouvait être pire. Avec les énergumènes que j’avais rencontré aujourd’hui, tout mais alors absolument tout pouvait m’arriver. Je soupirais par fatigue avant d’adressais un regard à l’homme en face de moi.

« Ne me regarde pas comme ça ! Je te jure que je n’ai rien fait pour me retrouver cette situation »

Le regard que l’homme m’adressa voulait tout dire. Les mains en l’air comme pour montrer ma totale sincérité. Ma seule erreur fut de rentré dans ce bar et de ne pas avoir réussi à fuir sans me faire attraper. Malgré ma réponse qui était tout à fait honnête, mon gérant ne fut pas de cet avis. Il me fit la morale comme à un gosse. Me répétant le règlement comme quoi il ne fallait pas emmener de fille ici. J’avais beau levait les yeux au ciel discrètement pour essayer d’en placer une mais, pas d’échappatoire. Je n’arrivais pas. Il prenait le monopole de la conversation jusqu’à m’assommé de ses grandes discours. Finalement, je baissais les yeux en cherchant un moyen de m’échapper. Si j’arrivais à faire d’une pierre et deux coups, je pourrais peut-être sauver ma peau pour ce soir. Regardant autours de moi, je récupéré mon sac.

« Qu’est-ce que tu fais ! Je n’ai pas finis de te parler de ton comportement ! »
« Excuse-moi ! Ce que tu dis m’intéresse beaucoup mais là faut que je fuie !! »

Je tapais amicalement sur son épaule avant de m’engageait dans la sortie. Sans perdre une minute, je m’éloignais de lui à pas de velours. Descendant les escaliers d’un pas de chat. J’arrivais en bas avec discrétion et sans attendre je pris mes jambes à mon cou pour fuir dehors. Aucune idée si mon plan aller fonctionnais. J’ouvrais la prote et m’élancer vers la liberté avant de m’arrêter net :

« Trop beau pour que ça marche réellement… »
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MessageSujet: Re: Once upon a nightmare   Once upon a nightmare EmptySam 09 Juil 2016, 19:53

Trop beau pour que ça marche réellement...

Pourtant, seul le vent nocturne répondit aux attentes de Théo. Pas une voix, pas un soupir humain, ou même fantôme... Un fracas métallique se fit entendre à sa droite : un chat venait de sauter hors d'une poubelle et s'enfuit à toutes pattes. Un chat, mais pas une trace de chevelure blanche argent. La voie était totalement libre, et ce de façon étonnamment volontaire : Mary avait sentit la volonté de Théo de fuir depuis leur entrée dans le bâtiment, et surtout sa réticence à être suivi dans sa chambre. Assise sur le toit de la résidence, la motarde avait un téléphone à l'oreille, les yeux mi-clos mais le regard bien ancré sur les épaules de Théo. Elle n'essaya même pas de l'interpeler, continuant sa discussion qui se perdait dans les vents des hauteurs, empêchant quiconque d'entendre les bribes de cette conversation.

Je ne remet pas ton autorité en question, ta place en tant que chef des opérations est méritée, malheureusement je crois qu'il y a une ombre au tableau.
Est-ce que tu peux m'expliquer ce qu'il se passe précisément pour une fois ?
Pour une fois ?

Mary laissa échapper un rire, ramenant sa main libre dans ses longs cheveux pour les lancer par dessus ses larges épaules, regardant la lune au loin avec un sourire tandis qu'elle se permettait quelques explications. Pour une fois.

Il n'a jamais vraiment voulu nous suivre, Will ne pourra pas le retenir.
Will non, mais vous...
Tu sais que Jeff déteste ce boulot, et Jack disparaît sans prévenir. Je n'ai pas le cœur à jouer les baby-sitters. Mais ne t'inquiète pas, je sais ce que je fais en le laissant fuir. J'enverrais quelqu'un le piocher le moment venu.
Qui te dit qu'il reviendra ?

La motarde se releva sur le toit et s'éloigna avec un haussement d'épaule. Sa silhouette disparu tout comme le son de sa voix dans le vent.

Si tu venais de découvrir que des créatures brutales rampaient dans la nuit là où tu les attends le moins, est-ce que tu réussirais à reprendre une vie normale ou fermer l’œil ?
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MessageSujet: Re: Once upon a nightmare   Once upon a nightmare EmptySam 09 Juil 2016, 21:06

Je tournais la tête dans toutes les directions. Analysant chaque endroit comme s’il s’attendait à voir le loup sortir des buissons. Mais personnes. Aucune femme en tenus de cuire était à l’horizon. Le seul être à m’avoir fait sursauter, ce fut le chat. Un pauvre petit minet qui sortait d’une poubelle en faisant un vacarme impossible. Mon cœur eu un sursaut d’effroi. Son sang ne fit qu’un tour alors que je fixais l’animal comme un monstre. Resserrant la hanse de son sac dans un geste de motivation. Je commençais à partir à l’opposer la plus total de la motarde. Bien évidemment, je ne souhaite pas me faire reprendre par ses adorables mains ensanglantées. Je monté sur le banc avant d’escaladé de façon grossière la palissade. Une fois de l’autre côté, je marchais sans me retournais d’un pas presser. J’étais alors loin d’imaginer que si je réussissais cet exploit n’était dû qu’à la volonté de ma tortionnaire. Mais, pour l’instant, je préféré me ruais loin dans un coin de la ville. En total sécurité pensais-je.

Ce soir, les bars n’étaient pas le milieu le plus fréquentable. Je choisissais de me rendre dans un cyber café. En arrivant, j’allais directement devant la serveuse. Une jeune fille à la chevelure brune dont trois mèches était colorée d’une variante de rose et violet. Elle avait des yeux d’une teinte de noisette. Le teint un peu bronzé qui ressortait avec les habits clairs de son uniforme. Elle porter un petit gilet bleu avec une jupe blanche. De carrure moyenne, la ceinture centrée permette de marquer sa taille. Elle me salua d’un sourire purement commerciale mais avec un regard doux. En prenant ma commande, je remarquée qu’elle avait de nombreux tatouage sur les bras. Ca s’accorder bien avec sa manucure même si elle était très flashy. Ses ongles peints en mauve claire attirée le regard. Après avoir notée ceux que je souhaité. Elle me passa mon soda et ma salade avec mon muffin. Je récupéré le tout en faisant un geste de la tête pour la remercier. Je choisis rapidement une table dans un coin.

M’asseyant sur la chaise dans le coin pour avoir une vus global du café. J’ouvrais mon ordinateur pour pouvoir installer le wifi et commencer à faire quelques recherches. Je connaissais l’histoire de Bloody Mary comme une légende urbaine qui glaçait le sang. Elle faisait partis des histoires préférées que les jeunes se racontaient pendant les soirées nocturnes. Mais, je ne connaissais que les grandes lignes de l’histoire. Je ne m’étais jamais amuser à faire des recherches sur son passé et ses différentes variantes. Tout en ouvrant ma salade pour y mettre la sauce. Je secouais mon plat avant de commencer à manger. Prenant une fourchette, je mâchais consciencieusement en lisant les différentes pages web. Lisant plusieurs histoires tragiques. L’histoire de Bloody Mary était digne d’un bon film d’horreur. Une jeune fille très malade qui se fait enterré vivante à cause de l’impatience de son père. Ce dernier laissa une clochette, mais en dormant dans sa maison le soir d’une tempête.

Personnes n’avait entendu les appelés de Mary. Cette dernière, malgré le fait qu’elle grata de toute ses forces jusqu’à se faire saigné les ongles et les doigts. Sa mère et son père était triste à en mourir. Si bien qu’au final, la jeune fille revenu hanté ceux qui l’appeler. C’était une histoire digne de jack l’éventreur ou de Jack O’lantern. D’ailleurs, je fis des recherches sur ses compagnons comme un bon petit enquêteur. Notant des petites choses sur un post-it pour réfléchir. Pour l’instant, ça n’avait pas beaucoup de sens. Aucune information que je pouvais tirée des pages internet ne me permettait de comprendre. Je fis quelques recherches aussi sur ses étranges bestioles mais rien. D’ailleurs j’étais surpris que la Mary ne met pas déjà retrouver. J’imaginais mal quelqu’un pouvoir réellement lui échappée. Et même si c’était le cas, je ne pense pas que je pouvais profiter longtemps de mon temps libres :

« Bon qu’est-ce qui va encore m’arriver… »
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MessageSujet: Re: Once upon a nightmare   Once upon a nightmare EmptyDim 10 Juil 2016, 01:30

Dans le cybercafé, à l'heure tardive qui se présentait, le silence était à son comble. Peu de gens se trouvaient ici, tout au plus deux ou trois personne : un homme d'âge mur était installé sur un des ordinateurs prêtés par l'établissement, visiblement concentré sur quelque chose d'important car il prenait à peine le temps de tirer quelques coups sur son cigare qui embaumait l'espace fumeur, tandis qu'une jeune fille en tenue rouge et noir était littéralement avachie devant son téléphone, murmurant des phrases incompréhensibles tout en semblant utiliser la wifi directement sur son petit écran portable, tandis que la tenancière de l'établissement patientait simplement en l'attente de l'heure de fermeture. Un peu plus tôt dans la semaine, un groupe de joueurs auraient été présents pour un rapide tournois sur les ordinateurs qui leur auraient été réservés malgré l'heure tardive, tandis que lors d'une fin de semaine de jeunes gens se seraient réunis pour une veillée un peu tardive à parler de leur vie active autour de quelques ordinateurs et téléphones divers. Mais en ce soir de milieu de semaine, il n'y avait pas un chat pour venir les déranger, ni même pour faire sursauter Théo en s'enfuyant d'une poubelle métallique.

La lumière du cybercafé était glaciale, dans les tons bleutés au lieu d'être dans une teinte plus dorée et chaleureuse comme tous les établissements nocturnes. Le sol et les murs carrelés de blancs témoignaient de l'usage principalement diurne de l'établissement, appuyant sur l'apparence froide et délaissée du lieu tandis que plusieurs taches grisâtres coloraient les coins de carreaux, d'anciennes traces de saletés qui n'avaient pas pu être nettoyées, trop résistantes ou laissées trop longtemps à l'abandon. Les ampoules des lumières étaient laissées nues, sans décoration particulière, les laissant à la merci de la poussière qui les couvrait depuis trop longtemps et dansait dans les rayons de lumière, comme un léger voile floutant les yeux. Seuls les néons de lumière dans les coins de salles qui permettaient de donner un éclairage plus puissant près des ordinateurs permettait de ne pas être plongé dans une semi-obscurité. Le problème était qu'un des néons n'avait de cesse de grésiller. L'ampoule était à deux doigts de claquer, ce qui avait sans doutes été la raison pour laquelle l'homme était parti à l'opposé, là où la lumière était moins agaçante. Dehors, il faisait noir d'encre, et avec la lumière à l'intérieure il était impossible de discerner quoique ce soit à travers les fenêtres à moins que cela soit littéralement collées à celle-ci ou marche le long de l'établissement.

Un légère odeur de café se faisait sentir, donnant envie de prendre une grande inspiration pour en ressentir toutes les saveurs, mais la poussière dissuadait quiconque voulait faire cela, tombant constamment du plafond de la pièce. Elle n'était pas suffisante à faire tousser les personnes présentes, mais restait irritante, venant titiller les narines des clients et donner une impression de douleur au fond de leur nez tout en humidifiant leur regard un poil plus que d'habitude. Au centre de la pièce, la semi-obscurité et la chute de poussière rendait les lieux étrangement flous, sans parler du fait que le néon proche de la mort ne manquait pas de rendre la visibilité plus complexe. La jeune fille et Théo avaient ainsi instinctivement esquivé eux-même le centre de la pièce, leurs sens leur dictant que l'endroit était légèrement angoissant, comme si un esprit s'y trouvait, bien que ce ne furent que des signaux de leur cerveau peu habitué à cette ambiance inconfortable.

Néanmoins le calme lourd fut tranché par une chaîne d'événements : les ampoules se mirent toutes à clignoter avant de s'éteindre un temps. Quelques secondes s'écoulèrent, les clients ne bougeaient pas, dans l'expectative d'une réparation imminente. La lumière revint, difficilement mais bien présente. Le néon de droite avait tout de même fini par expirer. Il y eut un léger soupir parmi les personnes présentes : il fallait s'y attendre, avec les orages qui avaient grondé tout le long du début de soirée l'électricité en avait pris un sale coup, et la fébrilité du néon avait finit par avoir raison de cette lumière. La jeune fille semblait tout de même nerveuse, l'homme mûr fuma un peu plus régulièrement. Une angoisse normale, une peur courante : la peur du noir.

Avec la baisse de luminosité à l'intérieur, la lumière qui s'étirait par les fenêtres s'était fait plus pâle, et des ombres s'y dessinaient. Personne ne semblait proche néanmoins, mais une large tache d'ombre persistait dans un coin...
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MessageSujet: Re: Once upon a nightmare   Once upon a nightmare EmptyDim 10 Juil 2016, 11:46

Accoudé sur la table, je laissais mon regard balayer les différentes pages web. Il y avait plein de version différente d’une même histoire. Pour celle de Bloody Mary, j’en compté déjà plus de dix. Certaines se ressemblait d’autre semblait tout droit venir d’une autre dimension. Parfois même les gens se trompée en confondant l’histoire de la jeune fille au miroir avec l’histoire de la dame blanche. En une heure, j’avais assez lu d’histoire terrifiante pour ne plus pouvoir dormir pendant les six prochaines années. Seulement, tout ce que je trouvais resté malheureusement des histoires. Personnes ne s’appeler réellement Bloody Mary et même en faisant des recherches sur son vrai nom, aucune identité de ne ressortait. Toutes les personnes qu’on accuser de c’être transformer en esprit vengeur ne semblait avoir réellement existé. C’était une des possibilités et je pense qu’elle satisfaisait les plus sceptiques. De toute manière, c’est légende était comme les rumeurs, on ne pouvait pas les arrêtés une fois qu’on l’avait lancé. Même si elle était fausse et qu’on essayait de dévoilé la vérité. Personne ne nous croyait.

Finalement, ma mauvaise journée m’apporta au moins un avantage. J’étais certain d’avoir vu cette fille et ses deux copain, sortie tout droit des légendes urbaines. Fronçant les sourcils en sortant d’internet, je trouvais les réponses trop faciles. Ou certainement trop bien construite pour être réelle. Les choses sont transformée mais je pouvais mettre ma main à couper qu’il existé vraiment une femme nommée ou surnommé Bloody Mary. Que ce soit dans une agence « top secrète » de l’état ou dans un gang mafieux des bas quartiers. Me frottant la tempe, je commençais à hacker tous les fichées possible et inimaginable parlant des légendes urbains. Je me demandais même si je n’allais pas essayer de faire des recherches avec les données de la zone 51. Oui, j’étais complètement désespéré. Et au lieu de faire un trait dessus, je m’enfoncée un peu plus dans cette histoire de fou. J’allais finir de tout téléchargée quand la lumière se coupa.

« Bon qu’est-ce qui va encore m’arriver … »

Un ralliement général se fit entendre entre les différences personnes peuplant le cyber-café. On entendait la gérante s’excusait en cherchant un moyen de ramener la lumière. Ce n’était pas étonnant que son établissement soit sensible à la coupure de courant. Il était assez mal entretenu malgré le fait que ça n’enlevait rien à sa fonction. La plus part du temps, il faisait payer l’utilisation des pc et le restes de leurs revenus provenait des commandes. L’argent devait partir dans la facture de l’électricité. On entendait au fond le chuchotement d’une jeune fille qui devait parler toute seule pour se rassurée. Le noir n’était pas la couleur la plus rassurante. Surtout quand on était totalement engloutis par elle et qu’on ne savait pas ce qui allait nous mordre les pieds. Ce fut un soupir de soulagement général quand la lumière revenus faiblement.

Tout le monde se regardait comme pour comptait si personne n’avait disparu. Mon regard balaya la pièce en attendant que les ordinateurs se rallument. La gérante de l’établissement soupira un peu plus de soulagement. Ce tournant vers nous pour s’excuser. Seulement, ce n’était pas sa faute si le courant avec sauté. Hochant les épaules, je terminer ma salade. Mâchant tranquillement, j’aurais certainement profité de mon plat si un bruit n’attira pas mon attention. A l’extérieur un bruit comme un chat qui sortait des poubelles se fit entendre. Seulement, je ne vis aucun chat et n’entendu aucun miaulement. Seulement une sorte d’ombre qui se dessinée parfois sur la vitre. Au début je pensais qu’il s’agissait d’un jeu de lumière. Mais quand je la vue se déplacer, mon sang ne fit qu’un tour. Attrapant mon sac et mon muffin. Je fixais cette étrangeté un moment avant de me dire que ce n’était que mon imagination…

Me relevant d’un bon, le bruit de ma chaise qui recule attira l’attention de toutes les personnes présentes. Il me fixait avec un grand étonnement qui lâcher une faible lueur de frayeur. Leurs adressant un regard désolé, je me dirigeais maladroitement jusqu’au comptoir. Me penchant un peu pour commander un muffin supplémentaire. J’en profité en même temps pour pouvoir m’approché de ce qui semblait réellement être une ombre. Une ombre ou une bestiole comme ce qu’on avait vu dans le bar….

« C'est une tache ou une ombre ? »
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MessageSujet: Re: Once upon a nightmare   Once upon a nightmare EmptyDim 10 Juil 2016, 14:13

Alors que Théo s'approchait de la fenêtre, la tache sombre s'avéra effectivement être une ombre. Elle se tenait immobile dans la lumière, comme si elle avait toujours été ici. Comme si cette vitre avait en fait naturellement une étrange forme qui donnait ce rebondis dans les formes de la lumière. Mais non, l'ombre était plus nette que celles des contours de la fenêtre. Pourtant, personne ne se tenait devant, suffisamment près pour faire se dessiner une telle courbe dans l'obscurité. Il n'y avait pas un chat dehors, juste cette ombre immobile dans la lueur trop pâle du cybercafé. La jeune fille semblait également l'avoir remarqué, elle jetai des regards nerveux vers l'extérieur comme si elle avait l'impression d'être observée, mais ne voyant personne elle haussait les épaules et retournait sur son portable où elle s'empressait de taper quelque chose. Peut-être était-elle sur un quelconque réseau social. Cependant, son entreprise était toujours gênée par cette sensation d'être observée. L'homme mur lui tournait le dos, la tenancière aussi, Théo fixait lui aussi à l'extérieur, personne ne semblait la fixer mais elle était nerveuse.

Comme si une personne se tenait réellement ici et venait de remarquer qu'on l'observait, l'ombre tressaillit à l'approche de Théo avant de s'immobiliser à nouveau. Pourtant il n'y avait eu aucun mouvement en dehors de cela dehors une fois de plus. La sonnette de la porte de l'établissement tinta soudain tandis qu'un jeune homme entrait, se frottant le bras de sa main libre tandis que l'autre retenait son ordinateur.

Quel froid de canard cette nuit, il y a un vrai pic de froid devant chez vous !, fit-il à la tenancière en frissonnant.

Il s'avança rapidement vers la femme pour commander quelque chose de chaud à boire et alla s'installer plus loin dans le cybercafé. La tension s'était un bref instant calmé, mais l'ombre était toujours là, remuant nerveusement cette fois-ci. Ce n'était donc pas le jeune homme qui avait provoqué cette ombre en restant dehors, non. Une quatrième connexion s'était ajoutée aux trois autres, et pourtant le même sentiment d'isolement et de solitude persistait à la lueur faible des dernières lampes allumées. Il semblait que tandis que l'homme était entré, une nouvelle ampoule avait grillé, près de l'entrée : l'ombre était de plus en plus difficile à discerner au dehors.
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MessageSujet: Re: Once upon a nightmare   Once upon a nightmare EmptyLun 03 Oct 2016, 13:53

Mon cœur avait teinté en rythme avait l’apparition d’un nouveau client. Il était apparu comme par magie. Mon attention étant essentiellement porter sur cette étrange silhouette. Si bien que le bruit du grésillement de l’ampoule se noyer dans le flot de mes pensées. Le tintement irrégulier des doigts de la jeune fille sur son clavier était lointain. Je me concentrais avec force. Cherchant à discerner les contours de cette ombre floue. Elle semblait danser comme une vague pour m’empêcher de lui donner une forme fixe. Je devais être beau à voir. Seul prêt de l’entré à fixer fixement un dehors inexistant. Mais personne ne me ferait une remarque. La tavernière servait son nouveau client qui s’empressa de rejoindre le petit groupe dans un coin du cyber café. Tandis que moi, je ne bougeais pas. Je devrais tournée les talons pour faire comme s’il n’y avait rien. Si j’en parlerais à haute voix on me dirait que c’est dans ma tête. Même si tout le monde la vue, même si tout le monde craint cette ombre.

Notre imagination travail et notre raison nous dis de ne pas trop nous fier. Seulement, chez moi, mon imagination et ma raison sont d’accord. Ce truc hésite quelques soit sa nature ou sa composition. J’ai vu trop de chose étrange aujourd’hui pour reconnaitre ce qui était normal ou pas. Une soirée dans un bar tranquille, c’est normal. Ce fait attaquer par un truc fou, pas normal. Ce fait touchée par un mec qui te touche les partie – et qui t’as sauvé la vie – pas normal. Etre poursuivie par une fille en moto qui conduit comme une folle, pas normal et réussir à s’en échappé, pas normal non plus. Je m’arrête de respirait un instant. Choqué par mes propres réflexion. J’avais réussi l’impassable, lui échappée. Je m’en était tellement réjouie que je n’avais même pas pensés à la grâce de cette miraculeurse chance. Un frisson me parcouru l’échine, l’étrange impression de ne pas avoir réellement réussi à m’échapper. Ce n’était peut-être que le stress d’un fuyard ou la triste logique d’un pauvre fou. La lumière s’éteint dans l’entrée subitement. Un sursaute de surprise m’échappe.

Je suis à peine visible pour les autres. Je sens à peine la lumière éclairé mon dos et le bout de mes oreilles. La lumière semble se faire dévorée par les ombres. Et cette ombre qui bouge sans cesse. Je perd pieds en le contexte propice à un film d’horreur et de la réalité horrifiante. La pluie, les vieilles ampoules, le silence, le froid, tout, tout me terrifie. J’ai envie de crier pour faire réagir quelqu’un ou simplement pour me rassurée. Je finis par prendre mon téléphone. Sans le regarder, je l’allume est projet la lumière vive vers la fenêtre. Elle est assez puissance pour éclairée jusqu’à la vitre. La nuit fait du verre un miroir. Mes yeux tombe sur ma silhouette. Les cheveux en pagaille qui tomber sur mon visage de manière désorganiser. Le roux de mes mêches me semble de couleurs sang. Mon expression grave qui me creuse les joues me donnant un air de vieillard. Mes sourcils se fronce en cherchant au-delà du premier plan. Je suis paniqué à l’idée de ce que je vais trouver et pourtant très calme comme persuadé de mes pensés… mais ce n’est pas vraiment une bonne chose

« Comme j’aimerais être avec les trois dingues … » murmurais-je dans ma barbe

Ils n’était peut-être pas les personnages les plus stable parmi mes rencontres mais, ils devraient maitriser ce qui se dessiner devant moi. Je pensais à Mary et sa folle moto qui m’aurait bien servie pour partir…
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MessageSujet: Re: Once upon a nightmare   Once upon a nightmare EmptyLun 03 Oct 2016, 17:36

Comme une feuille se déchire en son centre lorsque des pressions égales sont appliquées de part et d'autre de la surface en direction des extérieurs, l'ombre au dehors s'écarta et s'enfuit de toutes parts, l'ambiance nocturne fut ainsi bien vite remplacée par la lueur pâle de l'écran numérique, un éclairage bleuté et vacillant qui s'étendait comme une porte ouverte sur l'extérieur. A quelques mètres de la vitrine, en direction de la tâche obscure qui semblait avoir tressaillit plus tôt, une silhouette se dessinait, mais bien trop loin pour être vue dans son ensemble. L'éclairage ne pouvait capturer que la base de cette silhouette : sur le sol du trottoir de la sombre rue, d'élégantes chaussures noires foulaient le gravier, bien campées pour soutenir deux longues jambes dans un pantalon tout aussi noir. La forme était maigre, longue, à presque croire que les os des jambes de cet homme s'il en était se briseraient au moindre pas, pourtant il ne semblait pas le moins du monde déséquilibré. La lumière du téléphone semblait s'arrêter avant de dévoiler les genoux de la personne, et pourtant il était aisé de voir avec si peu que la personne au dehors était particulièrement grande. Comme sil avait remarqué la luminosité anormale, le mystérieux personnage recula un pieds, pivota sur celui-ci et s'éloigna de quelques pas. Un très léger reflet permettait de voir qu'il était toujours présent, mais il semblait avoir décidé de fuir la lumière. Pas un bruit n'avait retentit sous le poids de ses chausses, pas un son n'avait retentit à l'extérieur.

Cet endroit tombe en miettes !, s'exclama la vendeuse derrière son comptoir alors qu'elle tentait de voir quelque chose sur le panneau électrique. Veuillez m'excuser pour le dérangement, mais je ne trouve pas de remplacement et je n'arrive pas à trouver le problème dans les plombs, je ferai venir un électricien demain...

Revenant à l'avant du comptoir, elle accueilli la jeune fille qui tapotait plus tôt sur son clavier et qui semblait s'être décidée à sortir comme si elle avait remarqué quelque chose. Le nouvel arrivant s'était approché de l'homme à l'ordinateur, semblant le connaître, et tous deux se mirent à discuter en silence tout en observant l'écran, travaillant probablement sur quelque chose. Bien vite, l'étudiante se précipita au dehors, passant à côté de Théo elle lui lança un regard comme surprise de le voir éclairer ainsi l'extérieur puis sortit en souhaitant une bonne soirée aux personnes présentes, son sac rouge bien campé sur son épaule alors que ses cheveux noirs attachés en panache dansaient derrière elle, laissant s'élever la douce odeur de son parfum épicé. De la cannelle. Le tintement de l'ouverture de la porte retentit, puis la cliente disparu dans l'obscurité de la nuit, semblant attendre quelques secondes sur le pas de la porte le temps que ses yeux s'habituent à l'obscurité, puis partant précipitamment. Son visage apparu un instant dans l'obscurité alors qu'elle portait son téléphone allumé à son oreille, puis elle disparu à nouveau de même que le son de sa voix. Le silence retomba un instant puis la voix de la tenancière retentit à nouveau. Elle venait de ressortir d'une pièce voisine dans laquelle elle s'était rendue alors que la cliente sortait.

Veuillez m'excuser, je vais fermer. Je ne peux pas tenir le commerce dans ces conditions, mon patron m'a permis de rentrer chez moi, je vous laisse finir vos consommations puis je vous demanderai de partir assez vite.

S'installant au comptoir, la tenancière récupéra un papier qui semblait avoir été laissé ici à son attention. Le survolant un instant du regard, elle le referma alors qu'un des deux hommes s'approchait, voulant régler sa consommation.

Excusez-moi, êtes-vous Théo ?
Pardon ?
Ne prêtez pas attention, ce n'est rien... Voici votre monnaie.

L'homme récupéra son dû avant de rejoindre son collègue, tous deux récupérant leurs affaires en silence. Les lumières grésillaient dans la pièce sombre...
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MessageSujet: Re: Once upon a nightmare   Once upon a nightmare EmptyMar 25 Oct 2016, 16:01

Je soufflais un grand coup. Mon air s’échappa tout d’un coup comme si je venais t’ouvrir la vanne d’un robinet. La lumière était bien plus rassurante que le noir sombre de l’ombre – envie de dire, c’est logique. J’apercevais la silhouette à l’extérieur. Finalement, je n’étais pas fou. Mon cœur battait au rythme d’une formule Un. J’avais presque peur qu’il rate un virage et de le retrouver sur le carrelage de la boutique. Heureusement, je n’eus pas trop le temps de m’inquiéter de mes problèmes cardiaques. La jeune fille au téléphone passa à mes côtés en me fixant comme une étrangeté. J’aurais préféré qu’elle fixe la fenêtre plutôt que mon bout du nez. Elle devait être surprise de voir un imbécile assumé autant sa bêtise. Mais j’assumais. Je dessinais un sourire discret qu’elle ne remarqua pas. Elle s’en alla avec la vitesse d’une gazelle. C’est petit saut me faisait pensé à ceux des cabris. Ils bondissaient de rocher en rocher avec une facilité étonnante. A croire que la nature leurs avait mis des ressorts à la place des sabots – elles avaient peut-être des talons trampoline, si c’était le cas je voudrais bien des mêmes (sans talons).
Après une énième connerie qui m’aurait offert un allé simple pour l’asile la plus proche. Je décidais d’éteindre la lumière de mon téléphone. Elle m’aurait été plus utile pour la suite mais, je devais garder les quelques pourcents que j’avais. 35%. Juste de quoi trouver un abri pour la nuit avec le GPS (merci la gourde qui parle seule). J’étais ravie de voir qu’à part la jeune fille qui était partie, je n’avais alerté la curiosité de personne. Tout le monde était bien plus occuper à ses petites affaires. Ça m’arranger. Personne n’avais son regard pointé vers ma tignasse rousse en jugent ma maigre silhouette de leurs yeux acerbe. Je jetais un dernier coup d’œil à ma fenêtre – oui, cette vitre de café était littéralement devenu mienne. Rien, je soupirais comme rassurée, un soupire de bien-être. Ce fut un cours moment de repos avant qu’un nouveau mystère me tende les bras. J’eu la mauvaise impression d’être un de ses détectives maudits dans les mangas. Les personnes qui attirent comme les aimants, les événements bizarres, les meurtres et autre étrangeté de la vie.
Je ne voulais pas savoir comment la serveuse connaissait mon nom. C’était encore un mystère de plus dans ma longue liste de truc étrange. J’avais presque envie de ne pas me faire remarquer. Retourner à ma place dans un silence pesant en faisant comme si je n’avais rien entendu. Mes jambes se mirent en marche : direction ma chaise. Mes pieds étaient dirigé droit devant moi, seulement ce n’était pas la chaise que je pointais mais la caisse. J’arrivais mal à l’aise face à la vendeuse. Dans les films, c’est un homme plein de confiance en lui qui demande comment elle connait son nom. Mais non, c’était banalement que je lui demander d’une voix surprise et presque gêné :

« Excusez-moi, vous avez pris le client de toute à l’heure pour moi, je m’appelle Théo ! »


Si ça se trouve, elle avait justement demandé ça pour rien. Si je me gourée, elle allait me prendre pour un sacrée tronc de l’air. Écoute les conversations des autres, m’y mêler en plus sans la moindre gêne. Ouai, si je me gourée ! Je gagnais le pompom. Mais y avait pas de raison que je me loupe n’est pas ? N’est-ce pas !

« Pourrais-je savoir pourquoi s’il vous plait ? »
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MessageSujet: Re: Once upon a nightmare   Once upon a nightmare EmptyMar 21 Mar 2017, 00:46

Les deux hommes ayant réuni leurs affaires et payé leurs consommations, ils se dirigèrent d'un pas lent vers la porte de sortie, l'un d'eux pris son téléphone pour s'en servir de lampe torche le temps d'atteindre un éclairage public en fonction, et le duo sorti alors et s'éloigna. Peut-être le bruit de leurs chaussures avait-il couvert celui des pas discrets de Théo, car lorsque celui-ci arriva au niveau du comptoir, la serveuse qui était visiblement occupée à faire les comptes de la journée pour pouvoir rentrer au plus vite chez elle, angoissée qu'elle devait être par l'absence totale de lumières dans les alentours en dehors de celles des téléphones des clients et des ordinateurs qu'elle devrait éteindre, sursauta à la vue de l'ombre de son jeune client. Elle soupira de soulagement en retenant un rire, honteuse d'avoir été surprise pour si peu.

Excusez-moi, vous avez pris le client de toute à l’heure pour moi, je m’appelle Théo ! ... Pourrais-je savoir pourquoi s’il vous plait ?

La jeune femme détailla son client avec une certaine attention pendant deux courtes secondes, avant de se rendre compte qu'elle le faisait attendre. Elle récupéra le papier qu'elle lisait plus tôt et avait posé à côté de la caisse, puis le tendit à Théo : non ce n'était pas un pur hasard si elle connaissait le nom du jeune homme, car celui-ci était très clairement écrit en une élégante écriture sur le papier plié. « A l'attention de Théo. » Quelques mots écrits à l'encre noire dans une calligraphie appliquée mais visiblement rédigé d'une main pressée. Le papier était seulement plié en deux, cachant l'intérieur du message que la demoiselle avait pourtant survolé pour s'assurer que ce n'était pas une erreur un peu plus tôt. Elle sourit poliment à Théo.

Ce mot a été laissé sur le comptoir pour vous.

Ayant donné le papier à l'intéressé, elle s'empressa de lui proposer de régler sa commande rapidement pour ne pas le déranger avec un éventuel retard un peu plus tard si elle se mettait à faire du ménage. Sur le mot plié proprement en deux, il y avait bien peu de choses qui étaient inscrites, mais suffisamment pour être comprises. Dans la même écriture élégante, le message était décrit ainsi, très bref et clair : « Pour appeler à l'aide... » suivi d'un numéro de téléphone portable. Le papier immaculé était de forme carrée, comme un mémo, ce n'était pas le genre de papier que l'on arrachait d'un carnet dans la précipitation, il devait avoir été préparé un peu à l'avance, dans l'intention d'y écrire, si ce n'était celui-ci précisément, un message important. Le papier était également signé, mais de façon mystérieuse, un simple J au stylo rouge, de la même écriture que le reste du message.
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MessageSujet: Re: Once upon a nightmare   Once upon a nightmare EmptyDim 21 Mai 2017, 18:16

La serveuse me passa un petit bout de papier pliée en deux. La première chose qui me sauta aux yeux, c’est l’écriture. Elle semblait féminine avec ses lettres bien régulières. Je le récupéré délicatement entre les mains de la caissière. Je le gardais dans la main le temps de payer ma consommation. Je récupéré ma monnaie que je glissais maladroitement dans ma poches. D’un signe de la tête, je la remercier avant de partir vers l’intérieur du cyber café. Me plaçant vers le poste le plus près de la porte. Dans ma main toujours le bout de papier. Petit au bord net, propre comme si on l’avait posé délicatement. Je n’étais pas très rassurée à l’idée de ce que je pouvais trouver. Je doutais fortement que ce soit Bloody Mery, elle n’avait aucun intérêt à m’écrire un p’tit mot. Elle serait venu me chercher par la peau du cul. Et je ne veux pas savoir ce qu’elle en aurait fait – je suis un homme très courageux, je le sais, preuve en est ma fuite ratée par les toilettes.

Avec un courage exceptionnel, je lisais le petit bout de papier que je froissais entre mes doigts. Il n’y avait pas grand-chose à vrai dire – le contraire en aurait été étonnant – (sur un petit bout de papier on n’écrit pas un roman), une simple phrase et un numéro à appeler ne cas d’urgence. Je regardais autours de moi, curieux de voir si je reconnaissais quelqu’un mais personne. Dans ma tête : comme il est arrivé ici ? Par qui – je me souviendrais avoir vu un des deux J de ce matin ? Etc… faisait de mon cerveau une véritable compote de pomme. En signature du message, une lettre de l’alphabet : le J. Pas ma lettre préféré mais une lettre qui était la première lettre de deux personnage de mon passer : Jack le violeur et Jeff au sourire d’ange. Lequel des deux ? Jack me semblait le plus probable vu que c’est avec lui que j’ai eu le plus « d’interaction » au contraire de Jeff qui avait l’air … de n’en avoir rien à faire de moi.

Je regarder le numéro de téléphone et par précaution, même si j’espéré ne plus jamais avoir à faire à eux de ma vie, je le notais dans mon répertoire téléphonique. Je rangeais ensuite le papier dans ma poche et me levait de ma chaise. Dans un temps relativement cours, je récupéré mes différents pc et mes affaires. Me chargent comme une petite mule avant de me diriger vers la sortie. J’avais une vague idée d’où j’allais me réfugier. Je regardais dernièrement puis longtemps devant la porte avant de me lancer dans le froid dans la nuit. Pas de chance pour moi l’endroit que je voulais rejoindre me demander de passer par une rue trop animée à cette heure de la nuit. Les quartiers malfamés de sexe et de drogue de la ville à cette heure, c’était plus normale de voir des alcooliques chercher une pute que de voir des femmes rentrées d’un dîner romantique avec un gentil monsieur. Clairement, je n’ai pas envie de passer pas là… mais quand on n’a pas le choix :

« C’était censé être une bonne journée… »
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MessageSujet: Re: Once upon a nightmare   Once upon a nightmare EmptyMar 22 Aoû 2017, 22:21

La nuit se poursuivait dans le vacarme des rues malfamées. Des hommes saouls riaient d'une voix grasse qui résonnait sur les murs vide des bâtiments salis par les pluies boueuses. Au passage de Théo à sa portée, une tigresse en tenue de cuir se pencha vers lui, son opulente poitrine alourdissant le poids soutenu par son corset, son épaisse tignasse brune mal coiffée retombant sur ses épaules bronzées alors que son visage alourdi de maquillage brillant se déformait en un sourire crispé et aguicheur, ses yeux réduits en deux fentes pétillantes.

-Salut mon mignon, tu viens faire un tour ?

Elle croisa ses bras maigrichons sous sa poitrine tout en redressant son dos tordu par des nuits de dur labeur et rejeta sa tête en arrière, indiquant du menton une fenêtre au dessus qui devait être son bureau de travail, une mèche épaisse étant rejetée sur ses yeux dans ce mouvement alors qu'elle ponctuait sa proposition d'un rire grave. Une autre femme plus maigre aux cheveux courts blonds et aux épaules couvertes d'un long manteau rouge était assise un peu plus loin sur des marches, une cigarette entre ses longs doigts, adressant un sourire étincelant à la lumière des rares lampadaires de ces lieux au jeune homme roux, lui faisant signe de l'autre doigt de s'approcher. Ici, la luxure était un moyen de survie, pour certaines une obligation, pour d'autres un choix, pour beaucoup un quotidien répétitif.

Le sol était huileux par endroit, des traces noirâtres dans l'obscurité s'étalaient sur certains pans de trottoirs, une épaisse flaque visqueuse se démarquait au milieu de la route. Une voiture passa lentement par dessus cette trace sombre, se dessinant un chemin dans celle-ci, puis s'éloignant au même rythme alors qu'un homme détaillait de ses yeux brillants dans l'ombre de la nuit les corps étalés de part et d'autre de la chaussée. Dans un coin de ruelle, un homme était étalé à terre, ne remuant ni pied ni bras, son épaisse protection naturelle retombant en dehors de son pantalon alors qu'une bouteille roulait à côté de lui, disparaissant derrière une poubelle. Le bruit du verre fit remuer une ombre dans la benne à ordures. Un chat s'enfuit alors qu'un grognement sourd survenait. Ce grondement était gras et épais, menaçant comme l'orage dans un ciel zébré de lumière. Il était long, légèrement étouffé, marqué d'une irritation. Il semblait résonner profondément dans les os des personnes présentes. Une femme retint son souffle. Le rugissement fut suivi d'un long soupir et d'une plainte grave : l'homme à terre s'était mis à ronfler bruyamment alors que Théo passait à côté de lui, bavant sur le sol. Ce n'était qu'un ronflement... n'est-ce pas ?

Un peu plus loin dans la rue, un homme se laissait reposer contre un mur, tenant difficilement debout. Ses yeux étaient vide, rougis. Il fixait le sol un peu plus loin où des gouttes tombant lentement nourrissaient une petite flaque. Il releva lentement les yeux, mais soit la vision qu'il eue, soit l'effort qu'il dû faire pour prolonger ce geste, eut raison de lui et le fit basculer en arrière, tombant sur une marche d'escalier de secours en provoquant un bruit de métal qui raisonna. Il couru sur les murs, bondit entre les poubelles, se glissa entre les briques pour se hisser sur les escaliers, serpenta sur le sol noirâtre et fut étouffé par les flaques noirâtres des alentours, avant de se dissiper dans l'air entre les autres sons inquiétants et répétitifs des environs qui résonnaient dans chaque tête, dans chaque corps, chaque cœur, accompagnant leurs battements, programmant ces battements, les faisant pomper à l'unisson dans le sang épais des vaines de chaque passant.

Chaque objet de cette nuit semblait être un danger. Chaque son une menace. Chaque couleur une abysse. Chaque personne un ennemi...
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MessageSujet: Re: Once upon a nightmare   Once upon a nightmare EmptyVen 24 Nov 2017, 21:02

JE VAIS CREVER ! Sauver moi par pitié ! Supplia mentalement l’étudiant dans son esprit. C'est la seule pensés qu’eut Théo pendant plus d'un quart d'heure. Autant dire, une réaction très mature et parfaitement adapté. Le plus grand pétochard de la terre seul dans un quartier luxurieux, mal fréquenté et sexualiser de toute la ville. Pas à dire, il savait bien trouver ses chemins. Son premier obstacle fut une femme bien trop âgé pour être sa mère. Elle l'avait saisis comme on saisis une bonne occasion. Peut-être c'était-elle dit qu'un gamin pareille ne demanderait pas grand chose, ne ferait pas de mal et rapporterait assez d'argent pour son mac. Malheureusement, Théo n'était pas très à l'aise avec les femmes. Encore moins celle qui était entreprenante. Il réussi à s'en séparée sans trop savoir comment. Il réussi à royalement ignorée l'autre prédatrice. Ses yeux l'avait dévorée tout crus comme une cerise sur un morceau de gâteau. Il marcha d'un pas plus rapide pour espéré traverser avant que quelqu'un d'autre décide de l'arrêté. Les clochards et les bourrées ivre mort sur le sol était bien plus facile à esquivé comme obstacle que des femmes affamer de luxure. Quoi que ... Le ronflement de cet être était-il vraiment humain ?

Des tremblements incontrôlé prirent possession de sa main. Lentement, surement, Théo tombait dans la panique. Depuis ce bar sa course n'avait été qu'une longue fuite. Pourtant, il n'avait jamais eu l'impression d'en être libéré. Du moins totalement. Quelque chose était-là, au fond de lui, la peur. Elle l'enveloppé tendrement dans une angoisse incontrôlable. Dans ses pensés les plus infimes, elle transformer d'infime détail. De tout petit changement qui au bout du compte se trouvait être un véritable cauchemars. Par réflexe, humain, un de ses mains resserra ses affaires. Elle tira la hanse de sa sacoche le plus près possible de son cœur. Qu'espéré-t-il protégé ? Seul lui le savait. De son autre main, il chercha dans ses poches le bout de papier. Il se rattaché à sa plutôt qu'à son téléphone où à son pc. Dans un espoir muet, il souhaité pouvoir compté sur quelqu'un. Tant et si bien que sa n'implique pas une dangereuse femme en tenu de cuir et un homme pervers au mains baladeuse. Quoi que, s'il était capable de lui accorde une heure de repos, il se plierait à leurs exigences. Ils étaient pourtant aussi effrayant que l'ombre. Mais eux semblait plutôt du côté des gentils. Peut-être en vrai, rien ne l'empêcher de pensés qu'il avait récupéré toute ses personnes pour les livrée en sacrifice à cette chose.

La voilà de nouveau, la peur qui s'inssimice dans ses pensés. Elle dévore lentement à petite bouché. Elle se délecte de lui. Théo ne savait plus quoi faire. Ses certitudes se transformer en fumer et ce qu'il croyait en poussière. Pas à dire, c'est une horreur d'être bête à se point. Pas facile non plus de savoir quoi faire quand on ne croyait plus en rien. La lumière des écran était aveuglante à cette heure de la nuit. Ses yeux était fatigué de quêté à chaque fois le moindres objets qui osé bougé. Il fallait juste traverser ce quartier. Un dernier petit effort pour trouver enfin la paix...

Un bruit sourd sembla le frapper derrière la tête. Théo en resta pétrifier pendant de longues secondes. N'osant pas se retournée pour regarder ce qui se passer. Il faut pas ce cria-t-il en se dépêchant d'accéléré le pas. Si ça se trouve ce n'était qu'un vieux bourrée et sa bouteille bière. Mieux valait pensés de cette façon. Théo marcha si vite qu'il se crus courir. Il ne voulait pas rester immobile, encore moins dans se quartier. Il faut se sauver. Ses jambes allèrent de plus en plus vite. Tout son corps lui hurlé de partie. Son instinct, un pressentiment ou simplement la peur. Cette fois, il courrait pour de bon. Aussi vite que le pouvait ses pauvres gambettes. Il se bouscula à des passants sans ménagement. Se dépêcha de se relever. Il s'excusa dans un bref soupire et repartait. Encore et encore, jusqu'à arriver à la frontière de la rue. Cet espace tellement éclairé s'assombrit d'un seul coup. Comme si la vie maintenant mourrait à cet instant, à cet endroit précis. Et Théo eu peur, encore, irrationnellement, peur de cette noirceur. Lui avait tellement bien fuit jusqu'à maintenant se laisser rattrapé. Cette fois-ci, il allait se faire attrapé. Il le sentais, l’araignée refermer sa toile pour l'emprisonné.

Sans s'en rendre compte, son corps tremblait totalement du bout de ses cheveux jusqu'à l'ongle de ses orteil. Il avait froid, faim, soif, sommeil... il était stress, angoisser, paniquée, inquiet...

TUT ... TUT ... TUT ...

Machinalement sa main avait saisis son téléphone. Le seul objet qui possédé un clé de sortie. Sans réfléchir, il avait trouver le numéro dans son répertoire. D'un geste, il avait appuyer sur appeler et mis le téléphone à son oreille. Le bip de l'attente l'avait sortie de sa trompeur. Ça, ça lui était familier. Il entendu quelqu'un décrocher. Sa voix trahissait sa ressente panique :

"Allo ? Y a quelqu'un ?"

Qu'importe qui c'était, ça ne pouvait pas être pire que ça l'était maintenant !
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MessageSujet: Re: Once upon a nightmare   Once upon a nightmare EmptyMar 28 Nov 2017, 23:00

Dans le silence de la rue, il sembla que la tonalité du téléphone de Théo résonnait jusqu'aux oreilles indiscrètes. Lorsque quelqu'un décrocha, une voix féminine répondit :

Oui allo ?
Allo ? Y'a quelqu'un ?

Une voix paniqué, un ton de voix presque murmuré, une respiration saccadée. La jeune femme retira un instant le téléphone de son oreille. Par chance, les lieux étaient plutôt calmes en dehors de quelques pianotages de claviers, mais les personnes présentes se contentaient de travailler en silence. Elle avait à peine pu entendre cette voix néanmoins, alors que le bout du téléphone semblait tout aussi silencieux. Elle observa l'écran de son téléphone : un numéro inconnu. Un sourire de compréhension vint s'accrocher sur ses lèvres rouges alors qu'elle quittait le bureau, commençant à marcher dans les couloirs, ses talons rouges claquant au bout de ses jambes enrobées dans des collants de résille noire.

Il aurait été difficile de décrocher autrement. Tu dois être Théo ?

Elle avança ainsi tout en discutant d'une voix apaisée. Sa voix était plutôt jeune, sans pour autant sembler trop juvénile, et malgré le sourire qui se faisait entendre dans ses prononciations elle avait tout de même un ton très sérieux. En vérité, sa voix sonnait presque comme familière.

Je ne savais pas si tu aurais gardé mon numéro, en fait je sais pas ce que j'aurai fait si tu ne l'avais pas gardé. Ca aurait certainement chauffé pour mon matricule... Tu m'excuseras ma familiarité avec toi ? Je suis pas douée avec la sur-politesse.

Un bip retentit : elle venait d'appuyer sur la touche d'appel d'un ascenseur qui ouvrit immédiatement ses portes. Rentrant dans la petite case, elle appuya sur le bouton le plus élevé des nombreux qui s'éclairèrent à sa gauche, puis croisa son bras sous sa poitrine enveloppée dans une chemise noire, se servant du tout comme support pour son autre bras pendant qu'elle continuait de parler au téléphone. L'ascenseur s'éleva lentement au rythme d'une machine silencieuse.

Je ne sais pas si ça te sera utile, mais permets-moi de me présenter, ça facilitera les familiarités dans l'autre sens : je m'appelle Judith. Nous avons vécu quelque chose de semblable, je pense que tu peux deviner quoi.

Elle prit une petite pause, observant le chiffre des étages défiler au dessus de sa tête. Le dernier étage s'afficha bientôt, et les portes s'ouvrirent : un grand bureau qui devait bien prendre un bon quart de l'étage s'ouvrit immédiatement devant elle, élégant. Un homme releva la tête de derrière des documents, l'observant entrer. Elle lui accorda un signe de tête, reprenant à l'égard de son interlocuteur téléphonique :

Théo. Si tu m'appelles, c'est que tu as besoin d'aide. Explique-moi tout.


Dernière édition par Heathcliff le Dim 10 Fév 2019, 11:45, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Once upon a nightmare   Once upon a nightmare EmptyLun 01 Jan 2018, 18:13

Il ne savait pas vraiment ce qui allait lui tomber dessus. Mais tout sembler largement mieux que cette horrible sensation de ce faire poursuivre. Il mordu sèchement sa lèvre inférieur. Son souffle avait été complètement coupée après sa phrase. Ce n'est pas très intelligent d'appeler comme ça. Théo soupira, trop tard, de toute façon. Raccrocher ne servirait, de toute façon, à rien. Amis ou Ennemie, la personne à l'autre bout aller lui apporter des informations. Il avait tellement de chose étrange que ce n'était pas compliquer d'apporter des réponses à ses craintes. Tout en attendant que quelqu'un lui répondre. Théo se pressa à se redresser. Il ne pouvait pas rester ainsi à attendre que quelqu'un vienne le cueillir comme une petite fleur. Ses yeux balayèrent autours de lui. Il lui fallait un refuges pour l'instant. Un endroit où il pourrait avoir une assez bonne vue sur son environnements sans être trop exposer. Il rayait directement les toilettes de sa liste de lieux sécuriser. Ce matin, ça ne l'avait pas du tout réussis. De toute façon, il aurait mieux fait de ne pas se lever. La journée avait réellement était merdique ; il sait fait attaquer par une créature inconnus, trois personnes viennent le sauvé donc une qui l'accompagne comme garde du corps jusqu'à son appartement où il se fera viré grâce à elle. Absolument génial, où est mon oreiller parce que je dois retourner me coucher. Sa main resserra son emprise sur ses affaires. De l'autre, son téléphones bien accrocher à son oreille :

Il aurait été difficile de décrocher autrement. Tu dois être Théo ?
- Qui est vous ?

A vrai dire, en ce moment, on se soucie plus trop de savoir comment les gens savent des choses qu'il ne devrait pas savoir. Sa voix était cassante comme s'il n'avait plus parler depuis des années. Son corps se pressa d'avancé jusqu'à la petite niche au coin de la rue. Le silence était affreux, ont entendait tout et rien en même temps. On ce demande si c'est vrai ou si notre cerveau nous joue des tours. Cette sensation est simplement horrible. Quand on ne peut même plus faire confiance à ses propres sens. Quand on est trahis par nous-même. Théo n'avait pas le courage de traversé la rue pour rejoindre son point de ralliement. De l'autre, il était totalement incapable de faire demi-tours. Une chose dont il n'avait pas envie de faire connaissance était là, quelque chose, dissimuler dans les ombres des nombreux pecheurs. Il écoutait attentivement la moindre réponse de son interlocutrice. Déjà c'était une femme, bravo Théo, tu sais reconnaître les sexes. Et pas en mettant la main sur les parties génitales des personnages comme certaines personnes. Elle avait l'air plutôt jeune avec l'intonation d'une jeune maman. Une femme avait un ton doux qui paraît très joyeux et rassurant même dans les pires situations. En vrai, c'était le ton de voix parfait pour rassurée une personne en temps de crise. Particulièrement quand on s’appelle Théo et qu'on est totalement perdu au milieux dans la ville de son enfance.

Je ne savais pas si tu aurais gardé mon numéro, en fait je sais pas ce que j'aurai fait si tu ne l'avais pas gardé. Ça aurait certainement chauffé pour mon matricule... Tu m'excuseras ma familiarité avec toi ? Je suis pas douée avec la sur-politesse.

Il n'eut aucun besoin de répondre à ça. Il avait autre chose à faire que de perdre du temps avec des "vous", des "s'il vous plait" et des formulations de phrases complètements pour dire une idée simple qu'on peut résumé en deux mots. Théo se dépêcha de ce glissé dans une petite niche. Le dernier immeuble qui faisait l'angle avait une architecture particulière. Il possédé deux grandes colonnes en marbre monté de par et d'autre d'une grande porte vitré. Les colonnes séparées la petite terrasse d'entré en trois. L'espace principal était réserver à l'entrée. Une des deux petites enclavé était plus grande et aménager pour recevoir une porte de service. L'autre au contraire était inoccupée. Les gens venait se planqué là pour faire leurs affaires avec les dames de la rue. Mais, aujourd'hui, par chance personne n'en avait l'occupation. Théo se pressa de s'y glissait, ce plaçant dans au bout contre la vitrine. L'avantage d'une tel place, c'est que l'angle était parfait pour donner sur la rue. De plus, il n'avait pas besoin de repasser par son entré pour fuir. Il y avait un petit passage entre la colone et le mur en vitre. Assez fin pour quelqu'un de sa corpulence en toute cas. La planque parfaite !

Je ne sais pas si ça te sera utile, mais permets-moi de me présenter, ça facilitera les familiarités dans l'autre sens : je m'appelle Judith. Nous avons vécu quelque chose de semblable, je pense que tu peux deviner quoi.

L'endroit était parfait. Non seulement il pouvait parfaitement entendre la dénommé Judith. Il n'avait pas choisis cet endroit par hasard. En vrai : totalement. C'était un parfait coup de chance. Au moins, ils étaient tranquille pour discuté. Ce serait compliquer de bien tout écouté dans un endroit où tout avait une chance de nous interrompre. Théo avala difficilement sa salive. Ce n'est pas vraiment la chose qu'il pensait attendre. C'était peut-être une femme qui avait été capturée ce matin par ce... cet ... secte ?! En tout cas, elle n'avait pas l'air aussi traumatiser que lui. Peut-être qu'elle était aussi enfermer dans les toilettes quand le monstre là attaquer ? Enfin, passons, la jeune femme interrompus dans ses pensés en reprenant d'une voix un peu plus ferme :

Théo. Si tu m'appelles, c'est que tu as besoin d'aide. Explique-moi tout.

Sa question resta sans réponse quelques minutes. De longues secondes pendant laquelle Théo pesé le pour et le contre. Son cerveau avait du mal à savoir si tout ce qu'il faisait était une bonne ou une très mauvaise idée. Pouvez-t-il vraiment faire confiance à cette personne ? C'est un peu trop beau pour être vrai. Il aurait mieux fait de raccrocher et d'essayer de se débrouiller. Il était pourtant très lucide sur ses capacités. Il était épuiser et n'avais aucune faculté pour se protégé d'un monstre pareille voir de Bloody. En vrai, rien ne pouvait être plus pire que ce qu'il l'attendait dehors. Sa voix se railla comme un vieux disque avec un mauvais enregistrement :

Vous êtes avec les autres ? la femme a moto, le mec avec le sourire du Jocker et l'agresseur sexuel ?

Sa voix commencer à être de plus en plus audible à force de parler. Il posa sa tête contre la vitre glacer. Le froid se rependait sur tout son arrière crânien. La sensation faisait tellement de bien :

Je suis poursuivie, où du moins j'ai cette sensations de l'être. Depuis le cyber café où je m'étais caché de Bloody jusqu'à maintenant... Je me suis cacher dans une grande rue animée mais, j'ai pas l'impression d'être en sécurité...

Sa voix se taisa brutalement, le coup amer dans la bouche en fermant les yeux :

J'ai faim, j'ai soif et je suis fatiguer ! Je ne sais même pas si je deviens fou ou si j'ai raison de crainte quelques chose ! La panique le repris mais, il garda au mieux son calme : Je n'ai aucune idée des personne à qui je peux faire confiance ou non, j'obtiens un numéro inconnus qui semble me connaître et dont je ne sais rien ...

Il se recroquevilla sur lui-même en ramenant ses genoux contre sa poitrine. Ses bras venait former un nid où sa tête se reposer. Sa mains maintenant fébrilement le téléphone à son oreille :

Ch'uis dans la merde, vous pouvez m'aidez sans que j'en crève ?
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MessageSujet: Re: Once upon a nightmare   Once upon a nightmare EmptyLun 12 Fév 2018, 14:00

Un silence s'allongea au bout du combiné. Judith décolla un instant le téléphone de l'oreille, échangeant un regard angoissé avec l'homme du bureau. Celui-ci lui indiqua d'approcher, ce qu'elle fit sans le moindre détour, allant jusqu'à s'asseoir sur le bord du bureau en bois vernis. Ses longues jambes se croisèrent sous sa jupe à carreau alors que sa main vint s'accrocher à sa chemise noire, au niveau de sa poitrine, comme pour contenir son coeur qui battait lourdement. Son sourire était persistant, mais elle avait froncé légèrement les sourcils : il y avait vraiment un problème. L'homme se releva, se penchant au dessus du bureau comme pour entendre la voix qui sortit alors du téléphone.

Vous êtes avec les autres ? La femme a moto, le mec avec le sourire du Joker et l'agresseur sexuel ?

Les sourcils de Judith tiquèrent. Elle ne répondit pas, semblant elle-même peser le pour et le contre pour savoir comment lui répondre. De quelle façon pouvait-on se considérer avec eux ou non ? Il y avait en tous cas quelque chose qu'elle ne pouvait nier :

Je les connais.
Je suis poursuivi, ou du moins j'ai cette sensation de l'être. Depuis le cybercafé où je m'étais caché de Bloody jusqu'à maintenant... Je me suis caché dans une grande rue animée mais, j'ai pas l'impression d'être en sécurité...

Judith et l'homme au bureau échangèrent un regard. L'homme contourna alors le bureau d'un pas lent.

J'ai faim, j'ai soif et je suis fatigué ! Je ne sais même pas si je deviens fou ou si j'ai raison de craindre quelques chose ! Je n'ai aucune idée des personnes à qui je peux faire confiance ou non, j'obtiens un numéro inconnu qui semble me connaître et dont je ne sais rien...

L'homme s'assit lourdement dans un épais fauteuil de cuir qui se trouvait sur le même tapi que le bureau, un peu au devant mais de profil par rapport à celui-ci. Il laissa ses bras retomber le long du dossier, observant Judith qui laissa échapper un léger rire, ce n'était pas un rire moqueur mais plutôt un chuintement comme pour ponctuer ce qu'elle dit alors :

Je regrette de devoir dire que je ne te connais pas aussi bien que tu crois.
Chuis dans la merde, vous pouvez m'aider sans que j'en crève ?
Cela dépend en grande partie de toi, Théo.

Judith glissa légèrement de son perchoir pour poser le bas de son dos contre l'angle du bureau, fermant les yeux pour se concentrer sur son appel. L'homme présent s'était désintéressé pour le moment de la conversation, la laissant se charger du jeune homme qui discutait avec elle au bout du fil.

Théo, essaie de te détendre et de respirer un bon coup. Je vais devoir t'expliquer beaucoup de choses, mais on ne peut pas le faire dans ton état actuel... Sache que je ne sais rien de toi, mais que je sais beaucoup de choses sur les événements qui ont pu t'arriver. Je suis actuellement à un endroit qui possède toutes les réponses à tes questions, et je peux en partager certaines avec toi. Mais...

Elle ramena ses doigts à son menton, levant les yeux au plafond pour réfléchir, les lèvres légèrement en avant. Comment expliquer cela sans le faire plus paniquer encore ?

... Tu sais, ce que tu as vu a toujours été là. Le problème, c'est que tu ne le voyais pas avant, et que maintenant que tu en es conscient tu risques de le voir. Tu comprends ce que je veux dire ? C'est la connaissance qui te fait peur à présent, l'ignorance te tenait à l'écart. La plupart des personnes qui comme nous voient ça ne veulent pas y croire, ils veulent nier de tout leur cœur, et ils sont du coup encadrés pour avoir les moyens d'ignorer ça et de se dire que ce n'était qu'un mirage pour ne pas se retrouver à nouveau en danger. Mais toi et moi... On a du mal à oublier ce qu'on a vu de nos propres yeux, hein ?

Elle laissa échapper un léger gloussement, un rire tendre. Elle reprit après quelques secondes d'une voix légèrement plus inquiète.

Je vais répondre à ta première question. Je veux que tu m'écoute jusqu'au bout. Je connais Mary, Jeff et Jack, ils sont tous les trois membres d'un groupe que j'ai moi-même rejoint après avoir vécu ce que tu as toi-même pu vivre ce matin. Mais nous ne sommes pas vraiment du même milieu. Je n'ai aucune de leurs capacités hors normes, je vivais normalement comme toi avant tout ça. Je sais ce que tu ressens à leur égard, j'ai moi aussi eu très peur il y a un an... Mais s'il y a une chose dont je suis certaine, c'est qu'ils ne feraient pas de mal à des gens comme nous.

Elle se releva et échangea un regard avec l'homme sur le fauteuil. Celui-ci hocha la tête en direction de Judith, et celle-ci s'approcha alors. Un bip retentit : elle venait de mettre le haut parleur et baissa le combiné pour le mettre entre elle et l'homme en question.

Je ne te demanderai pas de leur faire confiance, ce serait hypocrite étant donné qu'ils n'ont pas vraiment la notion de confiance eux-même, mais je veux que tu me crois quand je te dis que je veux te libérer d'un poids. Tu peux raccrocher et t'en aller dès maintenant, tenter de vivre avec ce que tu as vu... Neuf personnes sur dix se font ronger par la folie dans ces conditions. Sur les 10% restants, 8% ont été soustraits à notre surveillance, je pense que tu te doutes de ce que cela veut dire. Tu pourrais faire partie des 2% qui ont pu vivre avec cela...

Elle s'arrêta, posant ses yeux sur l'homme en face d'elle. Celui-ci sourit légèrement puis parla à son tour : il avait une voix extrêmement douce pour un homme, presque faible bien qu'elle ne laisse aucune trace de vieillesse en vérité, on aurait plutôt dit qu'il était légèrement timide et pourtant ses mots coulaient naturellement alors qu'il s'exprimait dans un rythme constant.

Ou tu peux décider de ne pas te contenter du peu que tu as vu et souhaiter en apprendre plus. Si tu veux comprendre l'origine de ces choses et comment les combattre, tu peux te rendre à l'adresse que nous t'enverrons lorsque tu raccrocheras, nous nous rencontrerons dans ces bureaux. Je t'aurai bien proposé de nous rencontrer au lever du soleil à un café pour ne pas avoir à te déplacer de nuit... Mais tu n'as sans doutes pas envie d'attendre une nuit entière.
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MessageSujet: Re: Once upon a nightmare   Once upon a nightmare EmptyLun 02 Juil 2018, 06:18

La réponse ne fut pas celle que Théo espéré. Il aurait aimé une réponse toute faite, toute simple mais, rien n'est jamais simple dans ces histoires. Une solution de secoure, un raccourcis, un miracle seulement, ce que lui disait la personne à l'autre bout du file n'était rien de si joyeux. C'était quelques chose de beaucoup plus terre à terre. Quelques chose qui demander de la force, du courage et un sacrée morceau de folie. Le jeune homme écouta attentivement toute les choses que lui disait son interlocutrice. Même s'il était compliquer de se détendre quand on était complètement paranoïaque. Pourtant, le jeune homme fait de son mieux pour calmer sa respiration. Une main sur sa poitrine en essayant de calmer les palpitations de son cœur. Il garda le téléphone blottie contre son oreille. Ayant peur de perdre une seule des informations qu'on lui donnerait. On dit que l'homme est avide de connaissance, ce n'est jamais aussi vrai qu'à cet instant. Théo se serra un peu plus dans son petit coin reculer. Coupant le vent pour essayer de ne pas être interrompu par une bourrasque. La discutions s’annonce longue et compliquer. Le garçon lutta contre la faim, la soif et la fatigue pour restée concentré.

Heureusement, la voix de son interlocutrice était parfaitement audible et claire. Elle réussi à le tenir en haleine malgré les pauses répétés qu'elle faisait. Silencieusement, il digéré une à une les informations. Ses souvenirs ne s’effaçaient pas, et il n'était pas compliquer pour lui de comprendre parfaitement ce que lui expliquer la jeune femme. Dans un mouvement silencieux, il murmura une phrase inaudible pour son téléphone. Peut-être uniquement parce qu'elle était en train de parler de ses affreuses créatures. C'était une horreur, rien que de les imaginaient le faisait frissonner. Les question qu'il se posé était toujours sans réponse, mais il semblait avoir trouvé effectivement une personne pour avoir des réponses. Une chose qu'il avait compris depuis le début de la conversation, il devrait faire un choix pour en savoir plus ou non. L'opportunité de toute oubliée, lui était sans doute possible. En tout cas, ce serait mieux que finir fou ou complètement suicidaire. En tout cas, il ne pouvait pas resté comme ça sinon, il allait effectivement devenir paranoïaque.

Le téléphone changea de mains, la voix à l'autre bout n'était plus claire et chantante comme celui de la demoiselle mais, beaucoup plus timide ainsi que rugueuse. Le fait que le sexe de l'interlocuteur avait changer, d'une femme, Théo parlait désormais à un jeune homme. Il semblait parler d'un ton  plus doux que celui de la jeune femme. Quoi que tout deux faisaient des efforts pour ne pas plus le stresser que nécessaire. Finalement, le garçon fini par lui proposa de les rejoindre. La balade en pleine nuit n'était pas ce qu'il aurait préféré mais, c'était certainement mieux que t'attendre le levé du jours. Il aurait mille fois le temps de mourir de crise de panique. Il respira calmement en répondant d'une voix hésitante, mais moins paniqué que celle qu'il avait eu au début :

« Effectivement, je n'ai aucune envie de rester toute la nuit dans mon coins reculée. Je ne me satisferais pas non plus de retourner à la vie civique avec ses horribles bestiole qui hante ma réalité la plus folle. Du coup, envoyez-moi l'adresse s'il vous plaît vu que je suis sur de sombré dans la folie avant le levé du soleil et détruire toute vos statistique ! »

Le ton dans la dernière phrase était légèrement sarcastique. Théo trouvait ça affreux de faire des statistique sur de pauvres personnes mêlé d'étrange histoire. Quoi que ce qui le choquée le plus était clairement le fait qu'il est autant de personne ayant souffert de cet situation. Après une courte attente pour avoir la réponse, il termina l'appel. La nuit était encore plus sombre qu'au début de leurs conversation. Simple impression ou réalité, en tout cas, il n'avait pas envie de sortir de son trou à souris. Il sentie l'objet métallique vibrée. Il y jeta un rapide coup d’œil juste le temps de voir le message où l'adresse était indiquer. Avec un sourire moqueur pour lui-même, Théo jeta un regard sur la ville. Resté cachée ne le conduirait qu'à la folie avant de partir en courant comme un fou. Il se releva d'un bond de kangourous, pris ses jambes à son cou et traça sa roue dans la nuit noir. Pour s'en allait jusqu'à son prochain refuge.

Plusieurs minutes de marches plus tard. Il arriva enfin à destination. Il avait filé droit sans prendre le temps de réellement réfléchir à ses actes et ses conséquences. Heureusement, c'était certainement ce qui l'avait empêché de pensés à ses fantômes sur tout le chemin.  Ses jambes tremblaient comme une feuille en ralentissant sa marches. Ses mains serraient ardemment ses affaires contre lui. Ayant peur de tomber une nouvelle fois sur une mauvais personnes :

« Du coup, je fais quoi … je sonne, je rappelle... »
parla-t-il à lui-même comme un pauvre fou au milieux d'une rue. Cherchant le meilleurs moyens pour rentré. Dans sa tête, l'objectif était plus important que la peur qui lui tiraillais le ventre.
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