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 221B Baker Street

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Misu

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MessageSujet: Re: 221B Baker Street   221B Baker Street - Page 2 EmptyMer 21 Aoû 2019, 12:57

L'ambiance était plus que électrique entre les deux individus. L'un essayant tant bien que mal à attiré l'attention de son interlocuteur dans une conversation tandis que le seconde pour sa part l'avais déjà terminer depuis longtemps. Aucuns de ses deux hommes ne semblait s'entendre, donnant l'impression d'un échange stérile et habituelle. C'était assez intéressant de voir que malgré tout un certains accord tacite existé entre eux, sinon ça ferait depuis un moment que l'un ou l'autre aurait quitter cette pièces en ne cherchant même plus à comprendre l'autre. Dans les livres, Lestrade était un bon policier devant faire appel au plus célèbre détective de Londres pour pouvoir résoudre des énigmes pointus. La plus part du temps qui mettent en danger la notoriété de la police ou qui ce situe hors de son domaine de compétence. Pourtant, il ne rester pas moins étrange de voir les personnages des romans en chair et en os, vivant, parlant, respirant comme n'importe quels être humain. La situation était tellement inédite que parfois elle revenait frapper un grand coup dans ma tête avant de m'abandonner à mon vertige.

Je n'avais pas prévus d'écouter au porte, malheureusement, leurs discutions n'était pas la plus discrète dans la salle. Il parler de mon étrange histoire qui devenait une enquête à bouclée pour Lestrade et un nouveau mystère pour Sherlock. Un haut le cœur me fit blêmir même si dans le voix j'entendais très clairement que je n'étais plus le suspect principal. Il restait néanmoins le besoin pour la police de retrouver le véritable responsable de cet assassinat. Cet homme à l'allure effrayante entourée de ses gardes du corps avait tout l'air d'être un homme redoutable. Étrangement, j'avais plus était impressionner par sa prestance que par les deux molos qui l'encadrait. Quelques choses au fond de moi me disait clairement que ce n'était pas le genre d'homme qu'on allait pouvoir trouver facilement. Cette enquête allait sans doute durée un moment sur le bureau du policier. Je me frotter l'arrière de la nuque, mal à l'aise à l'idée que cet homme se trouver un peu n'importe où dans la ville. J'avais en même temps peur de lui et une curiosité à son écart, il devait savoir comment j'en été arriver là ? Comment ça ce faisait qu'on était rentré dans un bouquin, quoi que, une autre dimension paraissait plus réelle vu les changements technologique qui n’existai pas sous la plume d'Arthur Conan Doyle, et comment j'allais faire pour retourner chez moi...

Toutes mes pensés s'envolèrent en entendant le grognement de Lestrade, visiblement, il venait d'atteindre la limite du supportable. Le détective avait sans doute abuser de sa généreuse patience. Le policier se maintenus l'arrête du nez comme pour essayer de chasser toute les mauvaise pensés qui venait lui polluer l'esprit. C'est sans doute sans remarquer que je tomber a point nommée pour arrêter la conversation, même si dans mon sens j'étais un peu un cheveux qui tomber dans la soupe. Ils s'arrêtèrent de discuter instantanément, me mettant au centre de la conversation. J'étais absolument pas à l'aise, mais ils avait la courtoisie d’écoutaient attentivement ma demande. Leurs réactions était pourtant très différente, si Sherlock se retourner pour signalé son désintérêt le plus total, l'inspecteur se relevait en répondant d'une voix et d'un sourire polis. Il m'indiqua de prendre sa chaises pendant que ce dernier allait se dirigé vers une encombrée. A bien y regarder, elle semblait tout relativement occuper par divers objets. Bien que la chaise soit devant moi, mon regard ne se détacher pas de Lestrade avant d'entendre le détective se déplacer. Il agissait comme un électron libre ayant ses propre besoin et objectif indépendamment des besoins et des réactions des autres. C'était intéressant. Malgré mon regard accrocher à la silhouette de Sherlock, je fus ramener à moi en voyant le policier m'attendre au seuil de la porte. D'un geste vif, je saisis la chaise et parti dans sa direction :

Pendant un bref instant, George eut un regard pour Sherlock, mais à peine aperçut-il sa nuque, car le détective leur tournait complètement le dos, étalé en travers de son fauteuil, que la réponse à la question qui lui avait traversé l'esprit lui parvint immédiatement. Il se redressa en retenant un soupir, mais esquissa un sourire polit à l'égard de celui qui comme lui avait présentement le statut d'invité.

« Quelle partie de votre fiction de gourou psychopathe est-elle supposée être véridique ? »


Le ton était assez léger pour que je comprenne tout de suite qu'il s'agissait d'une blague. Malgré tout mon cerveau avec complètement cessé de fonction en pensant à ce que j'avais bien pu dire comme connerie hier. Le stress m'avait paralyser et au lieux de prendre la situation avec calme et logique je m'était laisser envahir par mes émotion. Je ne me souvenais plus trop bien de ce que j'avais pu sortir comme énormité dans cet état. Vaguement, dans mes souvenir j'avais prononcé le mot cochon, parent et gourou de secte. Un sacré mélange qui avait du inquiété mes hôtes de fortunes sur mon états mental. Étrangement, son regard, sa manière de me fixer et ses expression étaient beaucoup plus taquine que strict. Il avait un visage assez ouvert dans l'ensemble quand on le surprenait a avoir des réaction en dehors de son domaine de compétence. Il avait eu un tout autre physique, plus soucieux quand je m'étais réveiller la première fois. Il devait aimer son métier et aimé le contact pour pouvoir aborder une personne sans la moindre gêne. Je lui adresser un léger sourire un peu maladroit. Je ne savais pas réellement comment me comporter avec lui. Autant Watson avait su établir un lien de confiance immédiatement et Sherlock un intérêt parfaitement scientifique, Lestrade était rester un peu dans le flou de ma conscience.

« Les profileurs s'entêtent à préciser que tout mensonge se fonde sur un élément de vérité »

Son ton de voix me fit presque rire alors que mon sourire devenait plus sincère. Il était beaucoup plus sympathique :

« Je pense qu’être le gourou d'une secte était assez vrai dans un sens.... quand on est prof »

Je m'étais sentis obligé de l'ajoutée alors que je descendais les marches vers la cuisines. Une bonne odeur avait envelopper le couloir et mon estomac semblait l'avoir sentis lui aussi vu le grondement d'ourse qu'il nous fit :

« Désolé... »
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Heathcliff

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MessageSujet: Re: 221B Baker Street   221B Baker Street - Page 2 EmptyMer 21 Aoû 2019, 23:39

Albert semblait beaucoup plus embarrassé en la présence unique de Lestrade qu'en celle de Holmes ou Watson. Avec ces deux derniers partis dans la cuisine, il ne restait cependant que ce bon inspecteur et ses plaisanteries qui semblaient toujours plus rattachées au travail qu'au monde extérieur. Lorsque l'on vivait d'enquêtes comme lui et son collègue détective, il était visiblement difficile de discuter d'autres choses, non seulement entre eux évidemment mais tout autant avec une personne extérieure. Cependant, rassurant par ailleurs George sur le fait que sa plaisanterie n'avait pas été de trop mauvais goût pour un témoin d'affaire de meurtre, Albert finit par esquisser un sourire au milieu de sa barbe mal entretenue, répondant d'une voix calme et posée en passant devant lui avec sa chaise.

« Je pense qu'être le gourou d'une secte est assez vrai dans un sens... quand on est prof. »

Sur ces mots, il se dirigea dans le petit couloir qui séparait sur l'étage la pièce principale du toilette et de la cuisine, s'avançant vers la porte de celle-ci. A mi-chemin, il s'arrêta et se retourna avec un air désolé : les borborygmes de son estomac résonnèrent légèrement, juste assez pour que les deux hommes qui se trouvaient dans la petite pièce puissent les entendre. Le visage de l'ethnologue se teinta d'une légère rougeur d'embarras.

« Désolé... »

Lestrade cligna quelques fois des yeux. Il se tenait un peu plus derrière Albert et avait esquissé un large sourire, et après les excuses de ce dernier il éclata soudain de rire. Son sourire semblait avoir précédé plutôt que suivi la plainte de famine du ventre de son interlocuteur, aussi rit-il de bon cœur, avec toute l'honnêteté dont il était capable, indiquant entre deux soubresauts à Albert de poursuivre sa route tandis qu'il expliquait son amusement soudain :

« On ne me l'avait encore jamais faite, je la ressortirais à mes collègues ! Qu'est-ce que vous enseignez dans votre secte, l'ethnologie comme vos recherches ? »

Ils entrèrent dans la cuisine où Sherlock avait en effet déjà pris place. Il avait daigné poser son châle sur le dossier de sa chaise pendant le repas et se tenait à présent, jambes croisées et bras reposant naturellement le long du corps, dans une configuration qui pouvait sembler surprenante à la plupart de ces gens qui croisent les bras ou aiment poser leurs mains sur quelque chose, attendant que Watson accepte d'annoncer le début du repas. Il semblait qu'au moins ceci avait été admis comme une forme de politesse temporaire à l'égard de leur invité infortuné, car il glissa un regard vers John quand Albert posa le premier pied dans la pièce. John récupéra les dernières assiettes qui attendaient, et affichant un sourire radieux invita l'inspecteur et le professeur à rejoindre leurs places autour de la table, allant lui-même s'asseoir alors qu'il servait enfin la place qui sembla naturellement réservée à Albert lorsque Lestrade posa sa propre chaise. L'invité se retrouva assis en face de Sherlock, le bon inspecteur Lestrade à sa droite et le charmant docteur Watson à sa gauche.

« Mangez autant que vous le souhaitez pour reprendre des forces, fit ce dernier à l'attention d'Albert. Comment avancent vos affaires inspecteur ?
-Moins rapidement que prévu, j'ai pu prendre note des suspects évidents de Sherlock mais il refuse de me céder les preuves, il va me falloir prendre le temps d'aiguiller mes officiers dans la bonne direction pour finir de régler tout cela alors je ne pourrais pas accélérer l'étude de l'affaire de la bibliothèque pour le moment. »


Le docteur Watson esquissa un sourire désolé à l'égard de George, commençant à déguster son repas au son d'un soupir de lassitude de celui-ci. Sherlock ne sembla rien relever de la discussion, gardant les yeux baissés sur son repas en signe de désintérêt. Pourtant après une bouchée il releva enfin la tête, le regard dans le vide entre John et Albert pour s'adresser à tous deux. Il ne semblait pas souhaiter croiser leurs regards, pas tant par timidité ou malhonnêteté que par simple volonté d'éviter tout réel contact qu'il fut physique ou visuel avec une personne.

« Nous irons à Maple Street.
-Tu doutes de l'histoire de changement de dimension ?
, demanda avec un léger froncement de sourcil dubitatif John.
-L'existence d'un autre endroit semblable est évident compte tenu des preuves. Cependant il me faut rechercher quelles sortes de changements ont opéré... »

Ainsi, ces connaissances acquises, Sherlock Holmes serait capable de constater quel voyage avait pu faire Albert Rutherford lors de son pas de côté et donc donner des potentielles raisons à ce changement de dimension. John parvenait plus ou moins à voir les prémices de l'enquête du détective, hochant la tête avec un petit sourire suite à ces explications. Etrangement, la possibilité de se rendre en ce lieu avait, en un rien de temps, amené des couleurs et comme des pétillements d'excitation respectivement au visage et aux yeux du docteur mais également de l'inspecteur. Quelque chose semblait leur avoir redonné de la motivation dans ce but. John tourna alors la tête vers Albert, souriant joyeusement.

« Vous irez vous rafraichir dans la salle de bain après le repas, nous nous y rendrons après cela, si cela vous convient ? »
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Misu

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MessageSujet: Re: 221B Baker Street   221B Baker Street - Page 2 EmptyMar 12 Nov 2019, 12:49

C'est pas possible d'être un boulet pareille. Je me prenais ma main en soutenant au mieux la chaises de l'autre pour venir me cacher le visage. Je n'étais pas du tout à l'aise avec eux, enfin, de bases je ne suis pas très à l'aise avec les autres. Les rires du lieutenant de police me rendait encore moins à l'aise. Qu'est-ce qu'il allait bien pouvoir pensé de moi ? Trouver sur une scène de crime et qui ne sait en plus pas correctement ce comporter en société. J'avais intérêt dès que possible de lui faire changer son point de vue si ce n'était pas trop tard. D'un signe de la main, il me fit signe qu'on pouvait continuer de marcher. Dévoilant de nouveau mon visage en remettant ma main en soutiens pour transporter la chaise.

« On ne me l'avait encore jamais faite, je la ressortirais à mes collègues ! Qu'est-ce que vous enseignez dans votre secte, l'ethnologie comme vos recherches ? »

La question lui fit tirée une moue remplis de surprise. Il ne s'attendait pas à ce que le lieutenant de police retienne aussi bien l'étrange profession qu'il exercer. Sans doute était-il plus compétant qu'on le croyais. Je pointée le plafond du regard essayant de ne pas donner une réponse trop flou. Techniquement je n'ai fait que des cours de remplacement pour l'instant, cette année aller être la première en tant qu'enseignant titulaire, mais le contenue des cours n'allait pas être particulièrement différents.

« Oui et les bases de l’anthropologie qui est la science mère de notre étude et quelques donnée en sociologie vu que parfois on est emmenée à utiliser leurs outils. Ma recherche porter plus sur l'ethnobiologique ce qui est le rapport des relations avec le vivant, plus précisément entre les individus dans la société, un domaine plus poussé que ce qu'on enseigne dans les classe... »

Sans trop m'en rendre compte, je m'étais assez facilement livrée sur mon domaine de travail. Sans doute m'était-il plus facile de discuté de chose que je connaissais plutôt que de faire une conversation par pure politesse. Il faut dire qu'à part mes recherches je n'avais pas beaucoup passer de temps à l'extérieur ou a me changer les idées par d'autres activités. Sur ce point-là j'avais l'impression d'être assez proche de l'inspecteur qui avait l'aire de vivre uniquement de son travail. Bien que lui contrairement à moi est de nombreuses interactions social avec ses collègues du poste. Le monde de la recherche reste un long parcours de solitude face à nos donnée et on échanger très peu en dehors des rassemblement scientifique, qui était plus souvent pompeux et lourd avec une ambiance acerbe qu'un simple lieu d'échange pour discutée. J'avais terminer ma phrase quand mon pieds passa le seuil de la cuisine. Mon visage jusqu'à lors légèrement tournée vers l'inspecteur se redressa pour faire face au nouvel personne qui ce tenait devant moi.

Le bon docteur nous accueillis avec un sourire radieux en nous invitant à nous asseoir dans la petite pièces qui avait été aménagé pour l'occasion. La chose la plus remarquable était le comportement de Sherlock qui avait enlevé sa cape de protection. Pour la première fois, on pouvait voir ses épaules clairement définis qui donner lieu à deux bras bien proportionner. C'était étrange, mais voir qu'il était composer d'un bras et d'un torse comme les deux autres me rassurée. Sans doute m'étais-je encore fait tout un films de science fiction concernant ce monde. Je devais garder l'esprit ouvert sans redoutée quoi que ce soit. Bien que je trouvais sa manière de ce tenir très formel, je n'y faisais plus trop attention quand j’entendis la chaises de l'inspecteur se poser sur le sol. Sans trop me faire attendre, je l'imité à la seule place de libre qui rester, face à moi, c'était facile. Je me retrouver face à Sherlock qui avait l'air attendre le petit déjeuné avec une sorte d'impatience contenus. Je m'assis à la suite de Lestrade sur ma propre chaise. Jetant de nouveau un regard au docteur qui était posé à ma droite. Ce dernier avait finis de tout préparée en cuisine et nous avais servie un véritable festin.

« Mangez autant que vous le souhaitez pour reprendre des forces,
-Merci..
-Comment avancent vos affaires inspecteur ?


Je le remercier une nouvelle fois d'un hochement de tête avant de regarder toutes cette bonne nourriture qui me tendait les bras. Je n'ai jamais été un gros mangeur, mais après tout les événements qui venait de ce déroulée j'avais quand même un sacré creux à l'estomac. Je me servais d'un premier sandwich en écoutant la réponse de Lestrade à l'interrogation du docteur. Il avait malheureusement pas réussis à faire cédé Sherlock. Le pauvre, j'avais encore du mal à me demander si c'était par pur sens de la justice qu'il s'infligeait c'est long moment d'échange stérile ou par masochisme. Je mâchais très doucement ma nourriture alors qu'on entendais un profond soupire de lassitude du bon docteur qui malgré tout ne quitté pas son sourire. Il devait avoir l'habitude de ce genre de scène, sans doute était-elle plus courante que ce que je pouvait imaginée. Le visage de Sherlock jusqu'à là totalement hermétique à la conservation se releva pour parler. M'empêchant de reprendre une bouchée de mon repas :

Nous irons à Maple Street.
-Tu doutes de l'histoire de changement de dimension ?
-L'existence d'un autre endroit semblable est évident compte tenu des preuves. Cependant il me faut rechercher quelles sortes de changements ont opéré... »


J'étais aussi curieux de savoir si ma maison était bel et bien à sa place, même si une grande partie de moi, pessimiste ce disait que c'était impossible. Elle devait être habitée par une autre personne propre à se monde. Je croquais une nouvelle fois dans mon sandwich en réfléchissant à ce qu'on pourrait peut-être trouver là-bas. Si ça se trouve, certaine affaire avait suivie encore fallait-il trouver lesquels. De plus, c'était encore difficilement acceptable l'idée de sautée d'une dimension à une autre pour moi. Je voyais l'évidence sous les yeux, mais ça rester difficile à digéré. Je devais me concentré sur les points positif, je n'étais plus un suspect mais un témoins de meurtre, en sécurité avec des personnes de confiance qui croyais à mon histoire et qui ne m’emmènerais sans doute pas tout de suite chez les fous. Le reste, je pense que je serais a même de les comprendre une fois qu'on sera sur place. Pour le reste, je devais pour l'instant suivre les conseils de mon médecins.

En relevant mon visage vers le docteur, je remarquais que tous avait une étrange expression enthousiaste. Ils avait tous l'air d'être en grande partie motiver pour élucidé ce mystère. Je pense que c'est assez compréhensive dans un sens, on ne tombe pas née à née avec un voyageur dimensionnel tout les dimanches matins. John se tourna vers moi avec un grand sourire joyeux, visiblement, il avait l'air d'être le plus heureux des trois :

« Vous irez vous rafraîchir dans la salle de bain après le repas, nous nous y rendrons après cela, si cela vous convient ?
-Ce sera parfait, merci beaucoup »


Je ne pouvais espéré mieux comme traitement. Le repas était délicieux même si j'étais certains d'avoir une remarque du docteur concernant le fait que j'avais très peu manger. Au bout du deuxième sandwich j'étais quasiment calé. Je grignoté un tout petit peu en savourant ma tasse de thé. J'étais assez content qu'on attende que je finisse de me préparée pour sortir. Je me serais plus attendu à ce que Sherlock nous traîne dehors ou sans aille sans nous attendre, nous obligeant de lui courir après. Je n'avais pas trop fait attention a mon apparence c'est dernier temps, enfin peut-être un peu plus que c'est dernier temps, sinon Joanne ne m'aurait pas traîner de force aux magasins. Je devrais faire un sacrée gros effort toute à l'heure, je devais me rachetée auprès de Lestrade et aux moins me montré sous un jour convenable à mes hôtes de fortunes. Je reposer ma tasse de thé sur la coupelle alors qu'on était tous plus ou moins en train de terminer.

« C'était délicieux, merci docteur Watson ! Vous voulez un coup de main pour débarrasser ? »

Je n'osais pas vraiment faire les choses de moi-même de peur de paraître grossier...
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